UA-104406564-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19.10.2006

A Besançon aussi

Lors de l’ouverture récente du musée du Quai Branly à Paris, on a beaucoup parlé du mur végétal signé du paysagiste et botaniste Patrick Blanc. Selon un procédé qu’il a mis au point, quelque 15000 plantes s’y développent sur un feutre polyamide qui habille le mur.
Mais avez-vous déjà remarqué que nous avions, nous aussi, des jardins verticaux. La preuve avec le haut rempart du fort Griffon à Besançon, entièrement couvert d’une végétation des plus variées. Il y a de la mousse, de la vigne vierge, du lierre, des cotoneasters, des ronces donnant des mures, des graminées, des érables, etc. et même des fleurs. Et là, aucun homme n’est intervenu, la nature a opéré seule.


medium_RIMG0040.jpg

© Besançon Info

Les commentaires sont fermés.