Besançon Info

La nouvelle campagne de communication lancée par la Ville de Besançon pour faire connaître son patrimoine et inciter nos voisins du Grand Est à venir visiter notre cité, décline quatre visuels. Chacun d’eux met en avant un détail d’un monument ou d’une statue, en référence à une ville touristique bien connue. Ainsi, ce chapiteau ionique évoque Athènes. Alors qu’il se trouve bel et bien à Besançon. Au fait, savez-vous où?

Ce 30 mai, Granvelle est triplement à l’honneur. Alors que le Kursaal accueille le 12e festival Littératures policières noires et sociales, la promenade se transforme en brocante. Quant au palais, il sert de cadre à un concert et une conférence à l’occasion du festival de Musiques anciennes de Montfaucon.

Qui-Que-Quoi :
- festival Littératures policières noires et sociales, de 14 à 19h (et aussi demain 31 mai de 10h à 17h)
- brocante “Les vieux samedis”, de 8h à 18h
- festival de Musiques anciennes de Montfaucon : concert et conférence gratuits au Palais Granvelle
à 11h "Souffles Renaissants" (Musiques du temps de Charles Quint) par Les Haulz et les Bas
à 14h (entrée libre sur réservation) conférence “Le temps dans l’art pictural des XVIe et XVIIe siècles” par Françoise Lucbert, historienne de l’art (Université Laval, Québec) en partenariat avec le musée du Temps
www.festivaldemontfaucon.com

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Depuis le temps qu’on en parlait de cette SMAC (salle des musiques actuelles) de Besançon qui allait être construite en bord du Doubs, aux Prés-de-Vaux. Eh bien cette fois, les travaux sont bel et bien lancés. La pose de la première pierre a en effet eu lieu hier après-midi.

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Annoncé depuis quelques semaines, un Subway a ouvert hier à Besançon, en bas de la Grande-Rue, en lieu et place de Marie. Ce géant de la restauration rapide qui propose des sandwiches sur mesure (on choisit son pain et ses ingrédients) comptait quelque 30.000 restaurants dans le monde. Alors, pourquoi pas à Besançon. En tout cas, le jour de l’ouverture la petite boutique n’a pas désempli. L’attrait de la nouveauté y est bien évidemment pour quelque chose.

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Avez-vous vu que le marché couvert de Besançon s’était offert des couleurs? Les quatre portes de verre sont respectivement devenues rouge comme la viande, bleue comme le poisson, verte comme les légumes et jaune comme le fromage. Quatre couleurs que l’on retrouve déclinées en bandes tout autour du bâtiment qui désormais clame son nom de “marché couvert marché Beaux-Arts”. Une façon de mieux afficher la fonction des lieux.

Comme son nom le laisse supposer, L’irrégulomadaire est un journal qui paraît à échéance totalement irrégulière. Cette gazette d’information de l’association Tambour Battant à Besançon voit le jour en ce mois de mai 2009 avec son n°1 d’une seule page. Quand sortira le n°2? Nul ne doit le savoir encore. Bien pratique la solution d'un irrégulomadaire. Et tout à fait dans l’esprit de cette association bisontine qui ne manque jamais d’idées, ni d’humour... ni de sens pratique. La preuve, cette newsletter adressée par mail est volontairement conçue en noir et blanc, pour être facilement imprimable.

Qui-Que-Quoi : le n°1 de L’irrégulomadaire est téléchargeable sur le site de l’association Tambour Battant. Au sommaire: Le marché des arts fait sa révolution, l’agenda des réjouissances de juin et quelques brèves.

Savez-vous que, depuis 15 mois, Planoise écrit ses mémoires? Deux animateurs de la maison de quartier partent à la rencontre des habitants pour recueillir leurs témoignages sur leur vie dans ce quartier bisontin. Souvenirs personnels, événements, anecdotes, leurs récits et photos sont immortalisés sur le site internet http://racontemoiplanoise.free.fr.
Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce que ce 25 mai débute “La semaine Raconte-moi Planoise” au centre Nelson Mandela. Au programme: des expositions, une soirée festive avec les Planoisiens, des spectacles dont la restitution en images, en musique et sur le ton de la comédie de cette mémoire collective par les comédiens Abdellatif Targhaoui et Pauline Salvi.

L’autre jour, j’ai eu l’occasion de pénétrer dans la cour de la Bibliothèque municipale de Besançon, rue de la Bibliothèque. J’en ai profité pour faire ces clichés d'un élément d’architecture qui y est conservé. Il s’agit en fait d'un vestige du clocher roman qui coiffait jadis l’église de l’abbaye Saint-Paul. Située rue d’Alsace, celle-ci abrite depuis plusieurs décennies le musée Lapidaire de la ville. Lequel est fermé au public pour raisons de sécurité.

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