Besançon Info

C’est avec “Le chant des sirènes” que va s’ouvrir jeudi soir la 2e édition de Musiques de Rues. Cet opéra urbain révélera le “souffle primal et poétique” du Sirénium, nouvel instrument de lutherie mécanique. Celui-ci “transmet à un orchestre de quatre véritables sirènes (deux alto, une basse et une ténor) une musique spatiale aux mélodies envoûtantes et captivantes qui nous emporte dans un imaginaire féerique très coloré”, annoncent les organisateurs. Cette soirée d’ouverture donne bien le ton de ce festival qui se définit comme “4 jours de folie sonore pour découvrir toute l’inventivité et l’énergie des autres musiques d’aujourd’hui”.
Cette année, Musiques de rues se veut éco-citoyen et mettra en place de petites actions en ce sens. Encore faudrait-il que les festivaliers suivent l’exemple et ne laissent pas le sol de la place de la Révolution jonché de bouteilles vides comme cela arrive parfois!

Où-Quand-Comment : Musiques de Rues, du jeudi 4 au dimanche 7 octobre 2007 à Besançon. Concerts gratuits. Attention, pour certains à jauge réduite, il faut s’inscrire.
Pour tout savoir sur le programme, les lieux de concerts, les artistes ou réserver ses places en ligne, un clic sur www.musiquesderues.com.

Avez-vous déjà remarqué ces deux chérubins (c’est ainsi que l’on nomme les représentations d’anges où ne figurent que leur tête et une paire d’ailes)? Frères jumeaux, aux visages totalement identiques, ils sont tellement proches l’un de l’autre que leurs ailes se mêlent.
Si vous ne savez pas où ils se trouvent dans Besançon, direction la rue de la Convention. Et levez juste le nez au dessus du portail de la Cathédrale Saint-Jean.

Elle est née dans la rue Battant à Besançon, au dessus de la crémerie familiale. Huguette Mille a passé toute son enfance dans le quartier puis a travaillé dans cette crémerie qu’elle a tenue jusqu’à ce que la concurrence des supermarchés l’oblige à mettre la clé sous la porte. Aujourd’hui, dans un livre, elle confie ses souvenirs avec sa gouaille et son franc-parler, dévoilant des tranches de la vie populaire et cosmopolite de ce véritable village qu’est Battant, ses commerces disparus, ses “figures” d’hier...
Et dimanche, Huguette Mille sera de retour à Battant. Le temps d’une dédicace organisée à l’initiative du journal du quartier, “Des Arènes à la Pelote”.

Où-Quand-Comment: Dédicace par Huguette Mille du livre "Rue Battant (Mémoires d’une crémière dans le vieux Besançon)", dimanche 30 septembre 2007 de 10h à 13h au café Le 19e, 11 rue Battant à Besançon.
Cet ouvrage récemment édité aux Presses du Belvédère est en vente dans les librairies bisontines au prix de 16€.

Comme chaque année depuis 1996, la Ville de Besançon ouvre les portes de certains de ces équipements, révélant plusieurs des 250 métiers municipaux. Le millésime 2007 permet ce week-end de découvrir les coulisses de la chaufferie bois de Planoise qui fournit chauffage et eau chaude sanitaire à l’équivalent de 12580 logements et de la station de traitement d’eau potable de la Malate alimentant 52000 Bisontins, notamment dans la Boucle. Ou encore le musée du Temps et le service de police municipale qui emploie gardiens de police, agents de surveillance de la voie publique, receveurs-placiers, personnel s’occupant des objets trouvés ou de l’occupation du domaine public, etc.

Où-Quand-Comment : Portes ouvertes à la Ville de Besançon, samedi 29 et dimanche 30 septembre 2007 de 10h à 18h. Rendez-vous sur place.
- chaufferie urbaine de Planoise, 3 rue Einstein
- station de traitement d’eau potable de la Malate, chemin des Vignes à Montfaucon
- musée du temps, 96 Grande-Rue
- police municipale, 6, rue Mégevand
En savoir plus : un clic sur le site de la ville

© Besançon Info. La chaufferie bois de Planoise au moment de son inauguration.

Hier, les pelleteuses s’activaient sur la place Pasteur à Besançon. Alors que toute la partie gauche est désormais pavée de gris, un gros trou circulaire était creusé juste à côté. Est-ce là que vont se loger les racines de l’arbre qui doit être planté sur la place? Réponse bientôt sans doute...

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Hier matin, c’est en grandes pompes et en un long cortège que les 200 vélos de Vélocité ont été conduits de l’esplanade des Droits de l’Homme jusqu’à la place de la Révolution. De là, chacun a rejoint la base qui lui était dévolue sur l’une des 30 stations disséminées dans le centre-ville de Besançon.

Dès midi, les Bisontins pouvaient, munis d’un abonnement annuel ou hebdomadaire, emprunter l’un de ces véhicules pour un parcours gratuit de 30 minutes. Plusieurs ont tenté l’aventure avec succès, trouvant l’engin fort maniable. A en croire le reportage de France3 Bourgogne Franche-Comté diffusé hier soir, d’autres ont eu quelques soucis: bug informatique, numéro vert occupé, interrogations restées sans réponses. Normal paraît-il en cette première journée. Les problèmes devraient s’estomper rapidement nous annonce-t-on.
Si vous les avez essayés, n’hésitez pas à nous faire partager vos impressions.

En savoir plus sur Vélocité et s’abonner en ligne : un clic sur le site www.velocite.besancon.fr.

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Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un sordide fait divers survenu à Besançon. Mais d’une invitation à venir élucider une enquête criminelle inventée de toute pièce dans le cadre de “La nuit des chercheurs”. Ce cluedo scientifique grandeur nature se double d’autres manifestations: théâtre de science fiction, lectures astronomiques, rencontre avec des chercheurs spécialistes des régions polaires, débat. Sans oublier, une découverte de l’histoire et des plus beaux arbres du parc de l’Observatoire by night, grâce à de petites visites guidées de 20 minutes sous la conduite du personnel du jardin Botanique de Besançon.

Où-Quand-Comment : “La nuit des chercheurs”, vendredi 28 septembre 2007 de 19 h à minuit, parc de l'Observatoire (rue de l’Observatoire) à Besançon. Ouvert à tous les curieux. Gratuit. Petite restauration sur place.
En savoir plus: le programme est téléchargeable en cliquant sur ce lien

Je me suis aperçue à l’occasion du projet de la Cité des Arts et de la Culture qu’il ne fallait plus parler de Conservatoire National de Région (CNR) au sujet de notre conservatoire situé sur la place de la Révolution à Besançon. Il s’agit en effet désormais d’un CRR. Comprenez Conservatoire à Rayonnement Régional. Ce changement de nom n’est pas une initiative locale. Il découle d’un très officiel décret relatif au classement des établissements d’enseignement public de la musique, de la danse et de l’art dramatique, en date du 12 octobre 2006. Et valable dans toute la France.

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