Besançon Info

Auguste et Louis Lumière avaient toutes les raisons de voir leur nom associé à une rue de la capitale comtoise, en l’occurrence une petite artère qui relie la rue de Vesoul au quartier Montjoux. A leur notoriété internationale qu’a entraînée leur invention du cinématographe à la fin du XIXe siècle, s’ajoute le fait -non négligeable- que tous deux sont nés à Besançon, le premier le 19 octobre 1862, le second le 5 octobre 1864.
Leur père Antoine y était installé comme photographe dans la rue des Granges. Mais l’appartement familial était situé sur l’actuelle place Victor Hugo. Apposée sur l’immeuble du n°1, une plaque témoigne de leurs naissances en ces murs.
En 1870, Antoine choisit de partir s’installer à Lyon. Auguste et Louis quittèrent alors Besançon. Ils n’avaient que 8 et 6 ans.

Au bas de la colline de Beauregard, là où il y a peu de temps encore se trouvaient les entrepôts de la gare de la Mouillère à Besançon, ont déjà poussé deux blocs d’immeubles. Le troisième est en train de sortir de terre.
Généralement, on passe là en voiture sans y prêter grande attention. A pied dans ce secteur, j’ai pris soin de les regarder de près. On aurait pu penser que les architectes ou entrepreneurs en charge de ce programme opteraient pour une unité des façades. Curieusement, il n’en est rien. Côté parc Micaud, cinq ou six agencement de balcons différents se révèlent en effet au fil de la rue. Curieux parti architectural, à mon avis!

Avis aux randonneurs gourmands. Le 3 septembre à Besançon est proposée, pour la première fois d’ailleurs, une marche bien appétissante.
Celle-ci mêle en effet découverte des forts à pied et plaisirs du palais.
Dès le départ, à partir de 9 heures sur l’esplanade des Droits de l’Homme, les participants peuvent se restaurer d’un café et d’un croissant afin de ne pas partir le ventre vide. Puis direction Chaudanne où l’entrée est servie. De là, une petite montée à la Citadelle où se savoure un poulet au vin jaune et morilles. Excusez du peu!
Encore un petit effort pour gagner le fort de Bregille pour le fromage. Retour au niveau du Doubs pour déguster le dessert sur la place de la Révolution et boire le café sur la promenade Granvelle.
Précisons, côté boisson, que des viticulteurs régionaux font à chaque plat déguster leurs vins.
Attention pour participer à cette marche gourmande pour laquelle 20 euros est demandé (10 euros pour les enfants de moins de 14 ans), il faut s’inscrire à l’Office de Tourisme de Besançon au 03.81.80.92.55. Et ce, avant le 26 août. Ne tardez pas!

L’Est Républicain l’a annoncé dimanche 13 août. Mi-octobre ouvrira à Besançon une brasserie dévolue à de la restauration thaïlandaise rapide. Doublé d’un bar conçu comme un appartement, ce nouvel établissement de 60 couverts s’installera dans l’espace “restaurant” du complexe Marché Beaux-Arts, jusqu’alors inoccupé.
Apparemment la cuisine Thaï n’aurait rien à voir avec les autres cuisines asiatiques pour lesquelles Besançon est assez bien achalandée. Mais peut-être que Sandrine et Emilie, nos deux blogueuses cuisinières bisontines savent-elles de quoi il retourne exactement. On attend avec impatience leurs commentaires.

Après plus de 15 jours d’interruption, Vital’été reprend aujourd’hui, 16 août, sur le site de la Malcombe à Besançon. Jusqu’à la rentrée scolaire, y est proposée gratuitement une ribambelle d’activités à pratiquer seul ou en famille. Impossible de citer toutes les animations sportives et de loisirs destinées aux enfants, ados et adultes, valides ou handicapés. Et avec “Créativ’été” les 12-17 ans disposent en outre d’un espace d’activités culturelles avec des ateliers différents chaque semaine.

Où-Quand-Comment : Vital’été, site de la Malcombe à Besançon, du 16 août au 2 septembre, tous les jours de 14h à 19h sauf le dimanche.
En savoir plus : le programme des activités est téléchargeable sur le site de la Ville.

A partir d’hier et jusqu’à dimanche, Besançon prend part, pour la première fois d’ailleurs, à la manifestation nationale “L’espace dans ma ville”. Cette opération itinérante qui du 10 juillet au 3 septembre s’invite successivement dans 10 villes françaises, est destinée à susciter l'éveil et l'intérêt pour les sciences et les technologies des 8-17 ans.
Organisée avec la participation de l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Besançon, l’association La Méridienne et l’association Astronomique de Franche-Comté, elle propose diverses activités. On peut y lancer des fusées à eau et des microfusées, construire un robot martien, comprendre le ciel, fabriquer des instruments de mesure ou un cadran solaire, revivre la conquête de la Lune, faire de la géolocalisation par satellite. Bibliothèque, expositions, séances vidéo, planétarium géant, jeux d’orientation sont aussi au programme.
A cela s’ajoutent une conférence et visite de l’Observatoire le 16 août à 14h, la réalisation d’une fresque géante le 18 août à 16h au stade de Montrapon et une soirée observation du ciel ce même 18 août à 21 heures.

Ou-Quand-Comment : L’espace dans ma ville, du 14 au 20 août 2006, maison de quartier de Montrapon Fontaine-Ecu, place Pierre de Coubertin à Besançon. Accès libre tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h. Accès tout public les 15, 19 et 20 août.
Rens. au 03.81.61.51.11.

En savoir plus sur l’opération : le site du CNES.

Mea culpa ! Besançon Info n’avait pas indiqué la bonne adresse du “site internet des jeunes de la Grette” à Besançon dans sa colonne de gauche "Dans nos quartiers..." C’est en fait sur http://lagrette.free.fr que vous devez cliquer pour savoir tout ce qui se passe ou s’est passé dans le quartier.
Cerise sur le gâteau, on peut y télécharger L’Ascenseur, le journal du quartier Grette-Butte, ainsi que Quartiers libres, le bulletin d'information de l'association Brûlard Ensemble.

Par un commentaire posté après la note du 4 août dernier, Gaël avait indiqué avoir remarqué des fenêtres à trois baies séparées d’une colonne de pierre dans la rue de la Madeleine, juste après la rue de l’Ecole à Besançon.
Je suis allée faire un tour hier après-midi. Je pense que ce sont celles-là. Auquel cas, il s’agirait de ce que l’on nomme des “fenêtres à meneaux” typiques de celles de la Renaissance. Celles-ci sont, de plus, “à accolades” comme le montre leur partie supérieure.