Besançon Info

Il y en a plusieurs piles à l’office de tourisme de Besançon, il suffit de se servir. Le nouveau supplément tourisme de “L’Indispensable à Besançon et sa région” est sorti début août. En 168 pages, il recèle tous les sites à visiter de Besançon mais aussi de l’ensemble de la Franche-Comté, auxquels s’ajoutent des restaurants, des adresses où acheter des produits touristiques, des idées de sorties ludiques et sportives. Inscription des fortifications de Besançon à l’Unesco oblige, cette édition se place sous le signe de Vauban avec plusieurs pages qui lui sont consacrées. N’hésitez pas à aller en chercher un, d’autant que c’est gratuit.

Il y a quelques jours, Myriam m’avait indiqué par mail qu’un baromètre se trouvait perché sur une des tours de la basilique Saint-Ferjeux de Besançon, suggérant à juste titre que cela pourrait faire l’objet d’un article. Je suis allée hier après-midi sous la pluie voir ça de plus près. Et voici donc cet instrument de mesure dont la flèche était pointée sur beau temps fixe. En vis-à-vis, un cadran d’horloge trouve place dans l’autre tour.

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Comme chaque année, l’Orchestre de Besançon Franche-Comté dirigé par Peter Csaba va se produire de septembre à juin, invitant un soliste pour pratiquement tous ses concerts. Le répertoire exploré pour la saison 2008-09 concerne tant le classique que le contemporain avec par exemple des pièces de Beethoven, Brahms, Mozart, Tchaïkovski, Fauré, Kodaly, Chostakovitch ou Mantovani. A noter une coproduction avec le Théâtre musical de Besançon pour des extraits de "Pelléas et Mélisande" de Debussy et un original concert de musiques de films.

Qui-Que-Quoi : le programme est téléchargeable sur le site de la Ville où figurent également tarifs des concerts et abonnements.

Avez-vous déjà remarqué cette maison des 4 et 6 rue de l’Ecole à Besançon? Je n’en connais pas d’autres de ce type dans le centre-ville. Sa façade en fausses pierres de Chailluz peintes possède en effet d’originales avancées pyramidales. Equipées d’évacuations, celles-ci étaient destinées à placer des fleurs devant les fenêtres. Au sommet court un étonnant balcon et au-dessus de l’ancienne boutique subsiste l’inscription gravée qui désignait sa nature “Boucherie chevaline”.

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Présente pour la première fois au Mimos, le Festival international du mime de Périgueux, la compagnie de danse hip-hop Accrorap, basée à Besançon, a enthousiasmé public et jury avec sa dernière création Petites histoires.com. A tel point que Kader Attou et ses danseurs se sont vus décerner le “Prix Mimos 2008”, prix du Meilleur spectacle du festival, d’un montant de 3000 euros.

Comme l’an passé, la Nuit des Etoiles à Besançon se décline au pluriel. Les Bisontins sont en effet invités à se rendre dans le parc de l’Observatoire pour contempler la voûte céleste, commentaires de passionnés à l’appui, trois soirs de suite à compter de ce vendredi. Une carte du ciel en août sera remise à chaque participant lors de ces soirées organisées conjointement par l’Association Astronomique de Franche-Comté et l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Besançon.

Où-Quand-Comment : 18e Nuit des Etoiles, les vendredi 8, samedi 9 et dimanche 10 août 2008 à partir de 21h (les observations astronomiques commentées débuteront réellement vers 22h30), parc de l’Observatoire, 41 bis avenue de l’Observatoire à Besançon (accès par la rocade, sortie Domaine universitaire). Entrée gratuite. Et bien sûr, annulation en cas de temps couvert.

L’autre jour, Christiane et Claude, fidèles lecteurs de www.besanconinfo.com, m’ont fait remarquer qu’à l’angle de la place du Huit-Septembre et de la Grande-Rue, face à la banque CIAL, se trouvait une bien singulière plaque de rue. Celle-ci est en effet noire et maintenue par une bande métallique. En tout cas, je n’en connais pas d’autres de ce type dans Besançon. Peut-être ce modèle n’a-t-il pas convaincu les édiles de l’époque de sa pose.

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Il y a quelques jours, je vous avais montré un balcon fleuri de la Grande-Rue à Besançon (lire la note du 31 juillet 2008). Marie, dans un commentaire, nous a signalé un autre endroit du centre-ville où s’épanouissaient des géraniums, indiquant qu’il s’agissait d’un immeuble de la rue Morand. Je suis allée voir... et n’ai rien vu. Ne serait-ce pas plutôt rue Moncey car là se trouve vraiment une multitude de géraniums rouges égayant plusieurs façades contiguës.

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