Besançon Info

Seules les Hospitalières portaient un voile blanc. Et comme les Soeurs du Saint Nom de Jésus et de Marie, elles étaient vêtues de bleu. Les autres religieuses que l’on pouvaient croiser jadis dans les rues de Besançon ou qui y vivaient cloîtrées portaient un voile noir et un habit qui pouvait être entièrement noir, entièrement blanc ou mêlant ces deux tonalités. Toutes sauf les Clarisses dont la robe et la cape étaient brunes (photo ci-contre).
A moins d’avoir vécu au temps (pas si lointain) où notre ville comptait de nombreux religieuses et religieux, c’est ce que l’on découvre avec la petite exposition présentée actuellement dans la chapelle du Grand Séminaire à Besançon et qui nous permet, en outre, de pénétrer dans cette église presque toujours fermée au public.

Où-Quand-Comment : “Costumes des congrégations religieuses présentes à Besançon du XVIIIe au XXe siècle”, exposition présentée par l'association Renaissance du Vieux Besançon, chapelle du Grand Séminaire, 20 rue Mégevand à Besançon, jusqu’au 12 novembre. Tous les jours de 14h à 18h30. Entrée libre.

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Il y a un peu plus d’un an, je vous annonçais l’exceptionnelle naissance de quatre lionceaux d’Asie à la Citadelle de Besançon (lire la note du 21 septembre 2005). Aujourd’hui, les nouvelles sont plus tristes. Dacca, leur père qui depuis 8 ans vivait à la Citadelle est mort. Durant son séjour bisontin, ce lion aura donné naissance, avec sa compagne Lady, à 6 lionceaux, participant amplement à la perpétuation de son espèce menacée de disparition.

Dacca avec l’un de ses petits en septembre 2005 © Besançon Info.

Qui-Que-Quoi : les lions d’Asie sont élevés à la Citadelle dans le cadre d’un programme de sauvegarde en captivité (EEP). Cette espèce est en effet extrêmement menacée. A peine 350 lions d’Asie sont recensés dans la nature, dans la forêt de Gir en Inde, et moins de 100 individus se trouvent dans des zoos d’Europe dans le cadre d’EEP.

Les Présidentielles et les Législatives en 2007, les Cantonales et les Municipales en 2008. Dans les deux années à venir, on va l’utiliser notre carte de vote. Mais au fait, êtes-vous inscrits?
Sinon, vous avez jusqu’au 30 décembre pour le faire. Innovation à Besançon, on peut, via le site internet de la ville, télécharger la demande d’inscription, vérifier si l’on est bien inscrit (ceci notamment pour les jeunes de 18 ans qui ont peut-être déjà été inscrits d’office), effectuer un changement d’adresse ou s’assurer du lieu de son bureau de vote.
En mars 2006, 65579 personnes figuraient sur les listes électorales de Besançon, soit à peine plus d’un bisontin sur deux. Serons nous plus nombreux au 1er mars de cette année 2007 où l’on va nous demander à plusieurs reprises de faire notre devoir de citoyen en allant placer notre bulletin dans l’urne?

Ca y est, le programme des manifestations bisontines du tricentenaire du décès de Vauban dont je vous ai parlé mardi (lire la note du 31 octobre 2006) est en ligne sur le site de la Ville. Il vous suffit de cliquer sur ce lien pour en connaître tout le détail.
A propos de Vauban, savez-vous que son vrai nom est Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban, et que son château (qui se visite) est situé en Bourgogne, plus exactement à Bazoches dans le département de la Nièvre.

En savoir plus sur le château de Bazoches : www.chateau-bazoches.com

“Lumières d’Afrique”, le Festival de films africains de Besançon débute samedi. Cette 6e édition en chiffres, ce sont:

- 12 films,
- 7 courts métrages,
- 11 documentaires,
- 14 pays représentés,
- 6 réalisateurs présents,
- ainsi que 2 acteurs.
Mais aussi :
- 2 projections dédiées aux enfants,
- 2 expositions,

- et 1 an de travail, de recherches, de rencontres pour les membres de l’APACA, association organisatrice.

Où-Quand-Comment : 6e Festival de films africains “Lumières d’Afrique”, du 4 au 12 novembre 2006à Besançon (projections aux cinémas Marché Beaux-Arts, Plazza Victor Hugo et Petit Kursaal).
Tout le programme est en ligne sur: www.lumieresdafrique.com.
En savoir plus sur l’association APACA : un clic sur www.apacabesancon.com.

Le changement d’heure nous avait déjà mis la puce à l’oreille: on allait entrer dans l’hiver. Mais, hier, il s’est passé quelque chose à Besançon qui ne nous laisse plus aucun doute. Eh oui, les guirlandes sont déjà installées dans une partie de la Grande-Rue. Des guirlandes qui sont différentes de celles de l’an passé. Pour l’instant bien sûr, elles restent éteintes. Encore heureux, nous sommes à peine à la Toussaint et Noël n’est que dans un peu plus d’une cinquantaine de jours!

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