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22.11.2008

Connaissez-vous Grete Stern ?

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Plutôt que des clichés d’un photographe fort connu, les conservateurs du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon ont préféré exposer ceux de Grete Stern. Cette femme, célèbre dans les pays hispaniques et germaniques mais inconnue du grand public français, fut photographe dans le Berlin des années 1920. Puis, elle fit carrière à Buenos Aires où, ayant dû quitter l’Allemagne nazie, elle avait choisie de s’installer.
L’exposition, présentée jusqu’au 26 janvier 2009, révèle surtout ses premiers clichés alors qu’elle travaillait avec son amie Ellen Auerbach à Berlin au sein de leur studio ringl+pit, ainsi que la série des Sueños. Ces photomontages illustrant des rêves ou fantasmes racontés par les lectrices de la revue Idilio lui furent commandés pour être publiés dans ce magazine féminin populaire.
Projeté dans la même salle, un film de 19 minutes sur Grete Stern et son oeuvre complète l’exposition.


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Où-Quand-Comment : "Grete Stern Berlin-Buenos Aires", musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, place de la Révolution à Besançon, jusqu’au 26 janvier 2009.
Tous les jours sauf le mardi, de 9h30 à 12h et de 14h à 18h, le week-end de 9h30 à 18h. Nocturne le jeudi jusqu’à 20h. Fermé les 25 décembre et 1er janvier.
N’oubliez pas, c’est gratuit le dimanche.



©Besançon Info.

21.11.2008

Encore un lion

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A Besançon, il y a vraiment des lions partout. J’en ai retrouvé un de métal, hier après-midi. Il se cachait à l’extrémité d’une descente d’eau ancienne conservée le long du palais de justice, côté de la rue du même nom.



© Besançon Info.

20.11.2008

A la découverte des oiseaux

L’été passé, je vous avais parlé de ce circuit jalonné de bornes de bois qui suit le Doubs, du pont Bregille à Velotte, à la découverte des oiseaux des bords de l’eau (lire la note du 2 juillet 2008). Celui-ci fait justement l’objet d’une balade organisée samedi 22 novembre au matin, dans le cadre du programme “Nature et Couleurs”. Proposée par la Direction des Espaces verts de la Ville de Besançon et la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) de Franche-Comté, cette sortie nature gratuite de trois heures environ permettra de mieux connaître la vie et le comportement des divers oiseaux décrits et, avec un peu de chance, d’observer ceux-ci dans leur milieu.

Où-Quand-Comment : rendez-vous samedi 22 novembre 2008 à 9h à la Maison de quartier de Velotte, 37 chemin des Journaux à Besançon.

19.11.2008

Quand Bacchus veille

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Il veille de longue date sur l’entrée de l’hôtel Pourcheresse d’Etrabonne, sis au 127 Grande-Rue à Besançon. Cet homme barbu, coiffé de raisins (une évocation de Bacchus sans doute) domine la belle porte sculptée de cet hôtel particulier plus connu sous le nom d’hôtel de Clermont, propriété des Soeurs de la Charité depuis 1862. Un bâtiment qui, curieusement, combine ce portail d’une grande richesse décorative à une façade assez sobre.


© Besançon Info.

18.11.2008

Expo Pierre-Adrien Pâris... suite

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Je reviens sur l’exposition consacrée à Pierre-Adrien Pâris et qui se tient en ce moment au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon (lire la note du 17 novembre 2008) pour vous indiquer que jeudi 20 novembre à 18 heures 30 celle-ci fera l'objet d'une visite guidée. Laquelle sera conduite par Henry Ferreira-Lopes, commissaire de l’exposition et directeur des bibliothèques et archives municipales de Besançon.
Autre rendez-vous le dimanche 30 novembre à 16 heures pour une promenade littéraire autour de Pierre-Adrien Pâris en compagnie des comédiens de la Compagnie Mala Noche.
A noter que chaque dimanche à 16 heures est proposée une visite guidée gratuite.

En savoir plus : un clic sur le site du musée.

17.11.2008

Pour tout savoir sur Pâris

Il n’a qu’une toute petite rue à Besançon, à côté du marché couvert. Pourtant Pierre-Adrien Pâris, né dans notre cité le 25 octobre 1745, fut de son vivant un personnage important, notamment à la cour du roi de France. Il était en effet, de 1783 à 1792, “architecte des Menus-Plaisirs” pour Louis XVI, s’occupant des décorations et constructions éphémères pour les fêtes. Toutes disparues, celles-ci nous sont connues grâce à de très beaux plans aquarellés de sa main, que l’on peut découvrir en ce moment au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon. Pierre-Adrien Pâris y est en effet à l’honneur le temps d’une exposition qui révèle son travail d’architecte mais aussi la richesse de ses collections de peintures, dessins, livres, antiquités ou objets d’art dont il fit don à la Ville.


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Où-Quand-Comment : “Le cabinet de Pierre-Adrien Pâris, architecte, dessinateur des Menus-Plaisirs”, jusqu’au 23 février 2009, au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, place de la Révolution à Besançon.
Tous les jours sauf le mardi, de 9h30 à 12h et de 14h à 18h, le week-end de 9h30 à 18h. Nocturne le jeudi jusqu’à 20h. Fermé les 25 décembre et 1er janvier.
Entrée gratuite pour tous le dimanche.
En savoir plus : un clic sur le site du musée.



©bibliothèque d’étude de Besançon : détail d’un projet par Pâris d’une salle de banquet et de bal pour une fête, dans le parc du château de Marly, 1781, plume et aquarelle.



16.11.2008

Séance de ciné à tout petit prix cet après-midi

Ce dimanche 16 novembre marque le dernier jour de la 8e édition du festival de films africains de Besançon “Lumières d’Afrique”. Avec, notamment, à 16h au cinéma Victor Hugo la rediffusion du film algérien “Mascarades” au petit prix de 1 euro pour tous. Simplement parce que ce film a été désigné comme le “Coup de coeur du public” pour ce millésime 2008.

En savoir plus sur ce film : un clic sur le site du festival.

15.11.2008

Souvenir de la rue du Clos

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Il est quelques endroits à Besançon où subsistent les anciens noms de rues. C’est par exemple le cas au bout de la rue Renan, côté Grande-Rue. Là, une inscription a été conservée juste à côté de la plaque récente. On peut y lire: “rue du Clos”.
Cette artère proche de la cathédrale Saint-Jean, bâtiment autour duquel se développait le quartier archiépiscopal, s’appela en effet ainsi jusqu’à l’année 1904. Dans son livre “Les rues de Besançon”, Eveline Toillon explique qu’il s’agissait plus précisément de la “rue dans le clos canonial” et que durant la Révolution Française elle fut rebaptisée “rue Brutus”.