Besançon Info

A Besançon alors que l’on approche de la mi-novembre, s’il reste encore des feuilles sur les arbres du centre-ville, nombreuses sont celles qui se sont envolées ces derniers jours. La preuve, à Chamars, où les feuilles mortes se ramassent vraiment à la pelle devant le long bâtiment des impôts.

Les guirlandes se sont installées au centre-ville de Besançon. Les vitrines de certains magasins se sont emplies de cadeaux de Noël. Les boules et autres décorations pour les sapins sont en vente. Tout laisse à penser que les fêtes de fin d’année approchent à grand pas, que l’hiver est tout proche. Pourtant, ce n’est pas l’impression que l’on a lorsque l’on traverse le square Cusenier (la Charlotte comme l’appellent les Bisontins). Là, même si les arbres se sont teintés d’or et commencent à voir leurs feuilles s’envoler, les rosiers font de la résistance. Jaunes ou rouges, leurs fleurs semblent se moquer de la fuite des beaux jours.

En tout cas, les jardiniers du service espaces verts de la Ville de Besançon le savent, eux. La preuve, promenade Micaud où tout un parterre de choux violets et blancs a été planté.

Ca y est ! Plusieurs rues du centre-ville de Besançon ont déjà leurs guirlandes. Hier matin, étaient posées celles de la Grande-Rue piétonne. Rouges et blanches comme les années passées mais d’un tout autre motif. Et hier soir, elles sont restées allumées durant plusieurs heures. Un test très probablement.

C’est ce qu’indique le journal de Planoise, "La Passerelle”, dans son édition de septembre-novembre 2008. En dernière page, dans la rubrique “On a vu, on a entendu”, les rédacteurs révèlent ce qu’ils nomment une “étrange et terrible nouvelle”: la colline et le fort de Planoise font en fait officiellement partie du quartier de Velotte et non de celui de Planoise. Une injustice qu’ils estiment urgent de réparer. Comment, ils ne le disent pas.

L’avez-vous vue ? Une montgolfière jaune s’est baladée dimanche après-midi dans le ciel bisontin. Où allait-elle, d’où venait-elle, je n’en ai pas la moindre idée. Ce qui est sûr c’est que la vue sur la capitale comtoise, de là-haut, devait être imprenable!

Guillaume qui a posté un commentaire sur la note d’hier avait raison. Le cadran mis en ligne le 25 octobre 2008 sur www.besanconinfo.com est bien celui qui orne la façade du fond du bâtiment en U de l’hôpital Saint-Jacques à Besançon. Edifié à partir de 1686 sur des plans de l’abbé J. Magnin, celui-ci nécessita 16 années de travaux.

Ce soir, avant de vous coucher, n’oubliez pas de reculer vos montres et pendules. Car dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre, à 3 heures du matin il sera en fait 2 heures. Ca y est, le moment est en effet arrivé pour nous de passer à l’heure d’hiver, synonyme de journées plus courtes et de nuits interminables.
Et au fait, puisque l’on parle de cadran, savez-vous où se trouve celui-ci situé au coeur de Besançon ? Réponse demain.