Besançon Info

En mars 2007, je vous avais montré les panneaux alors récemment installés aux entrées de Besançon pour annoncer la candidature de notre ville au patrimoine de l’Unesco (lire à ce sujet la note du 7 mars 2007). Ils sont toujours aux mêmes endroits. Mêmes couleurs, même aspect. Si bien que certains Bisontins n’ont peut-être pas remarqué qu’ils avaient changé.
On peut en effet désormais y lire “Bienvenue à Besançon Cité Vauban inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco”. Et sur le côté, figurent trois autres distinctions de notre cité: “première ville verte de France”, “capitale européenne des microtechniques” et “ville labellisée Cit’ergie (European Energy Award)”.

© Besançon Info : le panneau installé à proximité de la Porte Taillée.

L’avez-vous déjà croisé ? Ce tricycle-taxi se balade désormais dans Besançon et devrait dans le courant de l’été être rejoint par un puis deux véhicules identiques. Il s’agit en fait d’une initiative d’Armand Millet qui tient la boutique de vente et location de vélos à assistance électrique au pédalage, installée au centre Saint-Pierre, rue de la République à Besançon.
Disposant de deux places sur la banquette arrière, Armand Millet propose, outre des balades-découvertes de la ville, la possibilité d’embarquer pour de petits trajets en ville moyennant, par personne, 1 euro de prise en charge et 1 euro par kilomètre.

Qui-Que-Quoi : on peut joindre Armand Millet et réserver son tricycle-taxi pour une course au 03.81.50.66.73.

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L’autre jour, en traversant la promenade Micaud à Besançon, j’ai découvert une borne de bois. Intriguée, je me suis approchée et vu qu’y figuraient un dessin, un petit texte et une question. Il suffisait de soulever le volet supérieur pour découvrir la réponse.
Des bornes comme celles-ci, il y en a en fait 12 disséminées, le long de la rivière, du pont Bregille à Velotte. Elles jalonnent un circuit baptisé “Besançon, les oiseaux au fil de l’eau” révélant les espèces que l’on peut couramment rencontrer: martinet, merle, moineau, héron cendré, martin pécheur, faucon pèlerin, milan royal, etc. Une manière originale de combiner balade et connaissance de notre environnement.

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A qui appartient le pont Battant? Comme prévu (lire la note du 27 juin 2008), la fête du quartier Battant à Besançon, le week-end passé, a été l’occasion d’un original pari permettant de répondre à cette question. Un tir à la corde a en effet mis aux prises 10 tireurs de Battant à 10 autres de la Boucle ou plus exactement du reste de la ville. De la victoire dépendait la possession de ce pont pour un an.
Encouragées par leurs supporters respectifs, les deux équipes n’ont pas ménagé leurs efforts. Mais la victoire a échappé à Battant. Le pont appartient donc jusqu’à l’année prochaine au "reste du monde", soit la Boucle et les autres quartiers de la ville.

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Une dizaine de voitures a déferlé sur le centre-ville hier soir, à l’issue de la finale de l’Euro. Avec des drapeaux volant au vent et un concert de klaxons, ces quelques Espagnols de Besançon ont fait partager leur joie de voir l’équipe de leur pays d’origine remporter ce championnat d’Europe de football, n’hésitant pas à faire étape dans la fontaine de la place du Huit Septembre.

En cette période de chaleur, nombre de Bisontins prennent la direction de la promenade Micaud. Il y a ceux qui pique-niquent et se bronzent sur les pelouses. Ceux qui amènent leurs enfants manger une glace, faire du poney ou retrouver leurs copains à l’espace de jeux. Ceux qui font du vélo ou du roller. Et ceux qui prennent tout simplement le frais, en bord du Doubs, sous les ombrages des arbres plus que centenaires. A certaines heures, tous les bancs sont pris par des hommes, des femmes, des enfants, des ados. Les uns discutent, les autres lisent, d’autres encore s’embrassent ou regardent couler le Doubs sur fond de Citadelle. Il y a là des gens de différents âges et diverses conditions sociales réunis dans le même désir de s’offrir un bol d’air et de nature au coeur de la ville.

Des coquelicots et des graminées frissonnantes au vent. Non, ce cliché n’a pas été pris à la campagne mais en plein Besançon. Plus exactement, avenue de Chardonnet, sur une bande de terrain voisinant avec le chantier de construction des nouveaux immeubles. Comme quoi Besançon est bien une ville à la campagne.

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Il est des jours où le Doubs à Besançon fait miroir. C’était le cas samedi soir. Aussi, n’ai-je pas hésité à saisir ce reflet pour vous le faire partager...

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