Besançon Info

Hier à 12 heures, l’Insee a livré sur son site internet les estimations de population issues des trois enquêtes annuelles de recensement 2004, 2005 et 2006.
Verdict: au 1er janvier 2007, nous serions en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer 63,4 millions de personnes. Pour Besançon, les chiffres publiés datent du 1er janvier 2005. Nous étions alors 115400 habitants dans la capitale comtoise.

En savoir plus sur les chiffres des recensements 2004, 2005 et 2006: un clic sur le site de l’Insee.

A l’angle des avenues Denfert-Rochereau et Carnot, la maison qui au rez-de-chaussée abrite un café ne paye pas de mine. Pourtant, à y regarder de plus près, on découvre le balcon. Et là, surprise!
Celui-ci révèle en effet un élégant motif art nouveau figurant des fleurs. Si vous passez par là, un conseil: levez le nez. Cela vaut largement la peine.

Depuis 2004, le recensement à Besançon, comme dans toutes les autres communes françaises de plus de 10000 habitants, a lieu tous les ans. Mais il ne concerne chaque année qu’un échantillon de 8% de la population bisontine, prévenu par courrier avant la visite des agents enquêteurs. Munis d’une carte officielle avec photographie, ceux-ci se rendront au domicile des personnes sélectionnées entre le 18 janvier et le 24 février 2007.
Si vous faites partie du lot, sachez que la participation au recensement est considérée non seulement comme un acte civique mais aussi comme une “obligation” conformément à la loi du 7 juin 1951.

En savoir plus sur le recensement 2007 à Besançon : un clic sur le site de la Ville

Mais qui sont ces deux princesses qui ont inspiré la dénomination de cette rue de Besançon qui mène de la rue de Belfort au cimetière des Chaprais.
Dans “Mon vieux Besançon”, Gaston Coindre rapportait que cette appellation venait de celle d’une auberge qui se trouvait là. Dans “Les rues de Besançon”, Evelyne Toillon précise, qu’en 1779, était situé à cet endroit “L’hôtel des trois princesses”, sorte de “maison de plaisir” pour les bourgeois de la ville. Nos “princesses” n’aurait donc apparemment rien de très aristocratique! Et où est donc passée la troisième? Nul ne le sait plus aujourd’hui.

18e édition, cette année, pour l’opération “Pièces Jaunes” de la Fondation Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France. Du 10 janvier au 17 février 2007, vous êtes invités à ce petit geste de solidarité qui permettra la réalisation de nouveaux projets visant à améliorer la vie quotidienne des enfants et des adolescents dans nos hôpitaux français.
Savez-vous que depuis 1990, 70 projets d'un coût total de 643014 euros ont pu être subventionnés dans les services pédiatriques des ceux de Franche-Comté. Comme par exemple, aux portes de Besançon, l’ouverture d’une Maison des adolescents à l’hôpital de Novillars, moyennant un peu plus de 35000 euros.
Alors, n’hésitez pas à alléger votre porte-monnaie dans les petites boîtes en cartons disposées ici ou là dans les commerces ou autres lieux ouverts au public de Besançon.

Jeudi prochain, 18 janvier 2007, direction l’hôpital Saint-Jacques de Besançon pour Séramon et Ankhpakhered. C’est sur des brancards et en ambulance que ces deux Egyptiens momifiés, il y a près de 3000 ans pour l’un et un peu plus de 2500 ans pour l’autre, quitteront le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon où ils sont enfermés depuis des lustres. Leur escapade médicale a pour objet de faire passer à chacun d’eux un scanner. Histoire de voir plus précisément ce qui se trouve sous leurs bandelettes, mieux connaître les détails de leurs embaumements et permettre grâce aux clichés réalisés des reconstructions en 3D de ces deux momies. L’idée d’un tel examen est venue à Samuel Merigeaud, interne de radiologie au CHU de Besançon et par ailleurs passionné d’Egypte ancienne, qui a choisi d’en faire le sujet de sa thèse. Ces images et les conclusions de ce jeune médecin ne seront pas réservées au corps médical. En effet, elles devraient faire l’objet d'une exposition temporaire au musée courant 2008.

Qui-Que-Quoi : ces deux momies avaient déjà subi en 1984 des radiographies. Celles-ci avaient permis de préciser que Séramon était, à sa mort, sans doute âgé de plus de 60 ans. Quant à Ankhpakhered, il n’aurait eu qu’entre 35 et 45 ans au moment de son décès.

C’est déjà le nombre de notes mises en ligne sur www.besanconinfo.com. L’occasion de vous donner quelques nouvelles côté chiffres. Selon les statistiques quotidiennes fournies par mon hébergeur, blogspirit, j’ai calculé qu’en 2006, www.besanconinfo.com avait comptabilisé 39430 visites et 101918 pages vues.
Merci encore à vous tous. Et rendez-vous demain pour la 501e.

Jusqu’alors le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon ne disposait pas de son propre site internet. Grâce à son “Club des Mécènes”, c’est désormais chose faite. L’adresse est des plus simples: www.musee-arts-besancon.org.
Une fois celle-ci tapée sur le clavier, une introduction animée permet de pénétrer virtuellement dans le bâtiment de la place de la Révolution et de découvrir son ambiance et quelques unes de ses oeuvres, essentiellement picturales. Une fois sur la page d’accueil, on accède à diverses rubriques. Certaines donnent des renseignements généraux sur le musée avec un brin d’histoire, une présentation du cabinet des dessins, quelques pièces phares des collections, les renseignements pratiques, la liste des catalogues d’expositions que l’on peut se procurer. D’autres sont quant à elles liées à l’actualité. Ainsi, sont mis en ligne la présentation de l’exposition en cours, le programme des rendez-vous (concerts, lectures, visites guidées, etc.) et des ateliers adultes, enfants et ados. Bref, la vie du musée.

Qui-Que-Quoi : association créée en juin 2005, le "Club des Mécènes" du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon regroupe différents acteurs de la vie économique et culturelle régionale. Son but est de soutenir le musée financièrement et dans une logique de partenariat dans divers projets: acquisitions, restaurations, édition de catalogues, expositions. Ainsi, outre la création de ce site, le "Club des Mécènes" a dernièrement contribué au financement du catalogue de l’exposition Fragonard.