Besançon Info

Besançon avait ses VéloCité. On peut y découvrir aussi, depuis hier, des Vélogardes. Rien à voir les uns avec les autres. Recrutés dans le cadre des contrats d’avenir visant à la réinsertion de bénéficiaires du RMI et employés par le Conseil Général du Doubs, les seconds sont en fait cinq personnes qui sillonnent désormais à bicyclette, par binôme, les portions Besançon/Saint-Vit et Besançon/Baume-les-Dames de la Véloroute. Equipés d’une tenue vestimentaire spécifique qui permet de les reconnaître aisément, ils sont là pour informer et sensibiliser les usagers de cette voie dédiée aux cyclistes, rollers ou piétons, mais également leur apporter les renseignements dont ils pourraient avoir besoin sur des services, lieux touristiques, etc.

En savoir plus sur la Véloroute : un clic sur veloroute.doubs.fr.

On y annonce “l’élite de la planète Salsa”. La 2e édition de la Copa Loca, le festival international de Salsa de Besançon organisé par l’association bisontine La Clave, c’est ce week-end à Micropolis. Au programme: spectacles, concours et danse pour tous.

Où-Quand-Comment : Copa Loca, festival international de Salsa, les samedi 12 et dimanche 13 avril 2008 à Micropolis à Besançon. Les horaires, le programme, les tarifs sont en ligne sur le site de la Copa Loca.

Désormais, c’est à la mairie (et non plus dans les écoles) qu’il faut inscrire son enfant pour son entrée en première année de maternelle ou en CP. Ce guichet unique pour les inscriptions à l'école concerne aussi ceux qui seront inscrits à la rentrée 2008 pour la première fois dans une école publique bisontine ou dont les familles changent de quartier et donc d’école.
A noter que cette démarche, obligatoire, doit être effectuée entre le 14 avril et le 13 juin.

Qui-Que-Quoi : si vous êtes concerné, sachez que les retrait et dépôt des dossiers se font à la Mairie, 2 rue Mégevand, ou dans ses points publics de Planoise, Montrapon et Clairs-Soleils, et que le dossier est téléchargeable sur le site de la ville.

© Besançon Info : détail de la belle architecture de l’école maternelle de la rue Ronchaux.

Cette petite rue de Besançon qui, dessinant un coude, relie la rue Plançon à la rue Pochet, rend hommage à Georges Cuvier. Né à Montbéliard en 1769, ce naturaliste, peu connu des franc-comtois, figure parmi les plus illustres scientifiques de tous les temps. Il n’est rien moins que le père de la paléontologie scientifique et de l’anatomie comparée. Excusez du peu !
Le premier, il prouva scientifiquement que des créatures du passé avaient pu disparaître et établit quatre grandes périodes géologiques: l’âge des reptiles, l’âge des paléothères, l’âge des mastodontes et l’âge de l’espèce humaine. C’est d’ailleurs lui qui inventa les noms de mastodonte, mégalosaure ou ptérodactyle pour désigner ces espèces qu’il avait pu reconstituer en se basant sur quelques os exhumés et nombre d’observations.
Un peu oublié ici, Cuvier est en revanche cité aux côtés de Newton, Einstein ou Galilée par les habitants de pays anglo-saxons, lorsqu’on leur demande qui sont, selon eux, les plus importants scientifiques, toutes époques confondues!

En savoir plus sur Cuvier : un clic sur le site de la Ville de Montbéliard.

Comme chaque année, l’association des Amis de Chevreaux-Châtel (du nom d’un château médiéval perché sur une colline du Jura) organise, au mois d’avril, sur le site de ce château deux stages d'initiation à la taille de pierre et à la maçonnerie au mortier de chaux. Il reste encore des places et notamment pour le premier d’entre eux qui aura lieu la semaine prochaine et s’adresse en priorité aux 16-25 ans dans le cadre d'un chantier d’initiation pour la sauvegarde du patrimoine architectural.

En savoir plus : un clic sur ce lien.

En ces vacances de Pâques qui débutent, les enfants de 6 à 13 ans ont tout intérêt à monter à la Citadelle. A partir d’hier, ils peuvent en effet découvrir le monument de Vauban grâce à un carnet d’aventures. Remis dès leur arrivée, celui-ci les sensibilise ludiquement, par le biais de jeux et questions, à la thématique de la construction de ce site au XVIIe siècle et leur laisse un souvenir à conserver. Et s’ils trouvent le mot-mystère en fin de parcours, ils se verront décerner un diplôme “d’ingénieur junior des fortifications de la Citadelle”. A vivre à plusieurs copains ou simplement avec ses parents.

Qui-Que-Quoi : Parcours Aventure enfants “Construire une citadelle”, à découvrir à la Citadelle de Besançon. Tarif 6 euros pour les 6-13 ans incluant le carnet ainsi que l’entrée sur le site, ses musées, espaces animaliers et expositions temporaires.
Rens. au 03.81.87.83.33.

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Besançon compte environ 1200 entreprises artisanales. Plus de 300 d’entre elles se trouvent au centre-ville, dans la Boucle et Battant. Ces dernières vont faire l’objet, à partir de ce mois d’avril 2008, d’une enquête de terrain visant à mesurer leurs forces et faiblesses. Verdict à la mi-décembre.
Cette étude sera la première des actions menées par l’Observatoire de l’Artisanat. Celui-ci a été créé il y a deux jours par une convention de partenariat signée entre la Ville de Besançon et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Doubs, après 10 ans de coopération pour la promotion des savoir-faire des artisans.

Hier, à Besançon, un homme s’est vu remettre par le maire un prix et un chèque cadeau pour un programme détente de son choix au centre de la Mouillère. Son mérite: avoir juste effectué le 100000e déplacement sur un VéloCité, le jeudi 13 mars vers 17h, soit 172 jours après la mise à disposition du public de ces vélos en libre-service. Cette “commémoration” a été l’occasion de faire un point sur ce moyen de locomotion fort prisé de certains de nos concitoyens. Alors, côté chiffres, VéloCité, depuis le 25 septembre 2007, ce sont plus de 1600 abonnés longue durée et plus de 10000 courte durée. Ainsi que plus de 105000 kilomètres effectués à vélo. Si ces distances avaient été parcourues en voiture, celles-ci auraient rejeté dans l’atmosphère plus de 21 tonnes de CO2. Mais est-on sûr que ces personnes ont remplacé leur voiture par un vélo? Il semble que pas mal d'entre elles adoptent ce mode de déplacement au lieu d'aller à pied d'un point du centre-ville à un autre.

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