Besançon Info

En ce mois de décembre, on commence déjà à songer à 2009 et à s’équiper en calendrier et agenda. Pour ceux qui aiment jouer la carte locale, l’agenda conçu par l’artisan d’art de Nancray Jacques Lacoste est tout indiqué. Orné de dessins au crayon de sa main figurant paysages, architectures, métiers traditionnels, animaux ou végétaux, il invite à passer une année en Franche-Comté. Quant à la couverture, elle s’illustre d’une vue de Besançon et ses fortifications vues depuis les bords du Doubs.

Qui-Que-Quoi : ce calendrier est vendu au prix de 16 euros. On peut se le procurer auprès de Jacques Lacoste, via son site internet ou en lui rendant visite en ce moment sous le chapiteau des artisans d’art installé au coeur du marché de Noël, place de la Révolution à Besançon.

Les amateurs de ballon rond ne parlent que de cela depuis hier. Le BRC, l’équipe de football de Besançon, va affronter l’OM en 32e de finale de la coupe de France. Et le match devrait se disputer au stade Léo Lagrange tout début janvier... à moins que celui-ci ne soit jugé trop petit pour accueillir le public qui ne manquera pas de se presser sur les gradins pour assister à une telle rencontre.

En savoir plus : un clic sur le site du BRC.

En cliquant sur le site de la Ville de Besançon, www.besancon.fr, on peut en effet dès maintenant envoyer ses voeux virtuels pour l’année 2009. Comme chaque année, il suffit de faire son choix parmi une cinquantaine de vues d’hier ou d’aujourd’hui, de taper le texte de son message et d’envoyer le tout au destinataire. Simple et pratique, ce service a été mis en ligne le 12 décembre. Mais c’est peut-être un peu tôt, non?

C’est tout simplement ainsi que se nomme ce remarquable livre récemment paru aux éditions Cêtre. Piloté par la commission “citoyenneté et solidarité” de la maison de quartier de Bregille, écrit à plusieurs mains et abondamment illustré, cet ouvrage, conçu après 3 ans de recherches et rencontres, débute par une préface qui parle de géologie et d’histoire. Histoire de planter le décor avant d’aborder le sujet principal: Bregille au XXe siècle. On y parle des sources, des villas, des Salins, de la forêt, des forts, de la gare de Mouillère et du funiculaire, des écoles, des associations, de l’ASCB et du SNB, des églises, des fermes et du vin, de l’usine Supérior, des commerçants et artisans, des artistes, de la guerre de 1939-45 bien sûr, le tout émaillé par l’évocation de nombreux Bregillots, connus ou anonymes.

Qui-Que-Quoi : “Mémoires de Bregille” est vendu par le Comité de quartier de Bregille au prix de 23 euros. Disponible à la maison de quartier de Bregille, 8 bis chemin des Monts de Bregille du haut à Besançon. Rens. au 03.81.61.70.37.

Avez-vous su que certaines des illuminations installées à Besançon cette année se trouvaient l’an passé sur les Champs Elysées à Paris? Sans doute s’agit-il de ces plafonds de lumières d’où tombent des sortes de gouttes lumineuses qui ornent les rues Morand et Moncey.

Réponse en ligne sur le site internet du CDT (Comité départemental du tourisme) du Doubs. Chaque jour, la page consacrée à l’enneigement y est réactualisée par les responsables des sites nordiques du Doubs et complétée par l’association Haut-Doubs nordique.
On trouve donc, en un clic, sur www.doubs.travel/enneigement.html :
- l’état d’enneigement sur 22 secteurs “neige” référencés dans le Doubs: Métabief, Les Fourgs, Mouthe, Chapelle-des-Bois, Pontarlier, etc
- des informations sur le nombre de kilomètres de pistes de ski de fond, ski alpin et circuits raquettes ouverts,
- des observations météo telles que températures et vitesse du vent.
Que demander de plus, en ce mois de décembre où la neige s’est fortement invitée sur les massifs proches de Besançon!

Hier matin, comme annoncé, les flocons sont tombés sur Besançon. Mais au centre-ville, la neige avait bien du mal à tenir. Juste un léger voile blanc sur les toits et un tapis clairsemé déposé sur l’herbe des jardins publics comme ici au square Cusenier que les Bisontins continuent à appeler La Charlotte.

Méfiez-vous. Apparemment, deux individus se faisant actuellement passer à Besançon pour des agents du Service des Eaux, se rendent chez les particuliers, indiquant qu'ils viennent procéder au contrôle de la qualité de leur eau. Or, la Ville vient de faire savoir, par communiqué, qu’il s'agit en fait d'escrocs dont le seul but est de cambrioler. Pendant qu'une des personnes fait semblant de contrôler la qualité de l'eau, la seconde en profite pour visiter les placards et voler les objets de valeur. Ce texte ajoute “La Ville de Besançon tient à préciser qu'elle n'envoie pas d'agents municipaux pour contrôler la qualité de l'eau chez les particuliers et si des agents municipaux sont amenés à se présenter au domicile des bisontins, ils sont toujours en mesure de garantir leur qualité en présentant leur carte d'agent municipal ou leur carte de visite".