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27.06.2006

Besançon à la une d’Archéologia

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Avez-vous su que le dernier numéro du mensuel Archéologia s’intéressait à Besançon.
En couverture, un gros plan sur la tête du taureau tricornu d’Avrigney, l’une des plus célèbres statuettes gallo-romaines conservées dans les collections de notre musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. A l’intérieur, un dossier de 52 pages consacré à l’archéologie à Besançon. Si l’on y parle des époques médiévale et moderne, l’accent est mis sur les périodes gauloises et romaines. Avec, notamment, des articles faisant le point sur la Porte Noire, les vestiges découverts il y a 15 ans au Conseil Régional, l’aqueduc amenant l’eau d’Arcier, l’amphithéâtre qui accueillait 20000 spectateurs outre pont dans l’actuel quartier d’Arènes, le square Castan tout juste restauré (lire la note du 20 juin 2006), la très luxueuse villa gallo-romaine qui se cache sous la fac de Lettres ou encore les mosaïques exhumées à l’occasion de l’extension du palais de justice.
Un numéro à acheter et à conserver précieusement.

Qui-Que-Quoi : Archéologia, n°434 de juin 2006. En vente en kiosque à Besançon et dans toute la France au prix de 7euros.

19.06.2006

Classement du Point : l’hôpital de Besançon en légère régression

Comme l’an passé, l’hebdomadaire Le Point publie le tableau d’honneur des 50 meilleurs hôpitaux de France. En 2005, le CHU de Besançon se classait 21e (lire la note du 7 septembre 2005). Légère régression cette année puisqu’il ne figure qu’au 25e rang.
Concernant les palmarès par spécialités, l’établissement public bisontin se positionne dans les 10 premiers dans seulement deux cas. Il atteint la 5e place pour la chirurgie artérielle avec une note de 18,45/20 (la meilleure note étant de 18,78) et la 9e pour l’infarctus du myocarde avec 19,27/20 (la meilleure note étant de 19,68).
A noter que l’enquête des journalistes du Point a concerné pas moins de 700 établissements. Donc 25e sur 700, c’est quand même pas mal du tout.

Qui-Que-Quoi : le palmarès 2006 des hôpitaux, est publié dans l’hebdomadaire Le Point, n°1759, du 1er juin 2006.

05.05.2006

Besançon à la une de l’Express

Il y avait longtemps que les magazines nationaux ne nous avaient pas offert une couverture “Besançon”. C’est donc l’Express qui dégaine le premier en cette année 2006 en titrant le numéro en vente actuellement “La saga des francs-maçons de Besançon”. En photo de couverture, la vue intérieure du temple (salle de réunion) des francs-maçons des diverses obédiences sis rue Emile Zola à Besançon. A l’intérieur, un dossier de 8 pages contenant deux interviews de francs-maçons bisontins, le témoignage d’un troisième, les termes employés dans les loges et quelques chiffres.
Bien évidemment, couverture et dossier sont spécifiques à l’édition en vente à Besançon et ses environs. Ailleurs en France, l’Express fait sa une sur l’affaire Clearstream, beaucoup plus vendeur que la franc-maçonnerie bisontine.
A noter que les photos de la couverture et du dossier sont signées Jack Varlet, photographe installé aux portes de Besançon.

Qui-Que-Quoi : L’Express du 4 au 10 mai 2006 (édition Besançon), en vente en kiosque 3€.

19.04.2006

Réparations plus qu’urgentes

Le Figaro le 10 avril dernier, Le Monde le 12, le site internet de France 2 le 13 et j’en passe. La semaine dernière, partout l’on a parlé de Besançon, tête de proue du projet d’inscription des sites majeurs de Vauban au patrimoine de l’Unesco. Reléguant les fortifications de Belfort (pourtant très intéressantes) aux oubliettes, la capitale Comtoise se targue, haut et fort, de porter ce dossier et met en avant sa Citadelle. Mais, lorsque l’on se penche sur le sujet, on s’aperçoit que l’ancienne forteresse qui culmine en haut de sa colline n’est pas seule en lice pour symboliser le génie de l’ingénieur militaire du roi Soleil dans notre cité. Vauban à Besançon, c'est aussi le fort Griffon, ainsi que toute l’enceinte urbaine. Or, si la Citadelle a fière allure, il n’en est pas de même de certaines parties des remparts. Depuis des années, toute une portion de ceux qui courent le long de l’avenue de la Gare d’Eau sont étayés de bois. Quant au quai Vauban, l’un des fleurons de Besançon, il souffre depuis plusieurs mois d’une bien laide verrue: des blocs de béton qui soutiennent le mur du quai, comme le montre la photo ci-dessous. Pas très heureux! Pour mettre tous les atouts de son côté, la Ville va devoir se dépêcher d’engager des travaux.
Alors, même si l’on n’obtient pas le prestigieux label de l’Unesco convoité pour 2007, année du tricentenaire du décès de Vauban, les Bisontins gagneront au moins de cette aventure (espérons-le!) une remise en valeur d’une partie de leur patrimoine.

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© Besançon Info.

13.04.2006

Aldebert à la une de Pays Comtois

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Avez-vous vu que notre chanteur bisontin Aldebert faisait la une du dernier numéro de Pays Comtois en vente en kiosque depuis mardi. Traitant de la “Franche-Comté qui chante” (des chansons traditionnelles au rock underground), le dossier principal lui consacre quatre pages et le met en scène, côté photos, dans son quartier de Battant à Besançon.
Et puisque l’on parle d’Aldebert, sachez qu’il sera en concert tout près de chez nous... à la saline d’Arc-et-Senans le 2 septembre, dans le cadre des manifestations du bicentenaire de Claude-Nicolas Ledoux. A ne pas manquer.

Qui-Que-Quoi : Pays Comtois, n°65, 20 mars-20 mai 2006, 6,50€. En vente dans les bureaux de tabac et maisons de presse.
En savoir plus sur Aldebert : www.aldebert.com.

11.03.2006

Besançon-les-Bains sur TF1

Si vous regardez le JT de TF1, vous connaissez certainement Emmanuel Rivallain et Denis Colle. Dès qu’ils en ont l’occasion, ces journalistes télé installés à Besançon informent la France entière de ce qui se passe chez nous. Et en ce moment, ils ne chôment pas. Après les dizaines de centimètres de neige qui ont recouvert Besançon samedi dernier, c’est au tour des inondations de faire l’actualité. Résultat, hier leur reportage est passé au JT de 13 heures et, complété d’images de Denis et de commentaires d’Emmanuel enregistrés l’après-midi, également à celui de 20 heures. Il faut dire que si la neige de dimanche était impressionnante, la montée des eaux l’est tout autant.
Hier à midi, la promenade Micaud était sous l’eau. A 20 heures, la toise située au pont de la République marquait une hauteur d’eau de près 7,10 mètres! C’est pas compliqué, le Doubs atteignait la base du tablier des ponts de la ville.

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©Besançon Info.

Au moins, comme ça, on parle de Besançon. C’est ce que m’a fait remarquer par mail Danièle, en ces mots choisis :

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27.02.2006

L’école hôtelière de Besançon sur France 3 ce soir

Diffusé ce soir à 20h55 sur France 3, le documentaire “A l’école des palaces” titre sa première partie “L’apprentissage de l’excellence”. Et pour parler de l’apprentissage de cette excellence en matière hôtelière passe par Besançon. Histoire de suivre des élèves du Cours Hôtelier de la Grande-Rue. Cet établissement privé fort réputé, que beaucoup de Bisontins nomment encore, à tort, l’école de Madame Cheval, apprend en effet chaque année à des jeunes gens et jeunes filles à recevoir, le plus professionnellement possible, les clients des palaces.

Qui-Que-Quoi : Véritable institution, le Cours hôtelier de Besançon fut fondé le 16 août 1916, en pleine guerre mondiale pour former les filles des hôteliers comtois alors que l’hôtellerie laissait justement à désirer dans notre région. La première session 1916-1917 comptera sept élèves. Très vite, l’école s’ouvre à d’autres demoiselles (et plus récemment aux garçons) et jouit d’une excellente réputation dans l’ensemble de l’hexagone, puis à l’étranger. Une réputation qu’elle n’a pas perdu 90 ans plus tard.

En savoir plus sur le cours hôtelier de Besançon : www.cours-hotelier.com/.

04.02.2006

Besançon vue d’hélico

En kiosque depuis quelques jours, le nouveau numéro du magazine GEO annonce sur sa couverture “Le Jura vu d’hélico”. Heureuse surprise pour nous Bisontins, Jura ne signifie pas ici département mais massif. Et la beauté de Besançon n’a pas échappé au photographe Franck Mulliez qui a fixé son objectif sur dix sites majeurs du Doubs et du Jura.
La photo qu’il publie pour notre ville est réellement superbe. Le coeur ancien se love dans sa boucle du Doubs où se baignent les nuages, tandis que la futaie des arbres de la promenade Chamars resplendit de lumière. Quiconque habite le centre-ville s’amuse à chercher sa maison. Ce que j’ai fait bien sûr! Puis, j’ai pris le temps de regarder ce cliché plus en détail. J’ai alors remarqué combien était harmonieux le quartier Saint-Amour bâti au XIXe siècle. Rue d’Alsace, rue de Lorraine, square Saint-Amour, rue Proudhon, rue de la République, rue Morand, les façades paraissent, vues du ciel, toutes identiques. Les toits courent à la même hauteur donnant une grande unité aux îlots. Détails que l’on ne prend généralement pas le temps d’observer depuis le trottoir!
Une autre heureuse surprise attend les Bisontins sur le site internet de GEO où le numéro en vente est bien évidemment évoqué, sommaire à l’appui. Pour illustrer l’article “Le Jura vu d’hélico”, deux photos en ligne. Et l’une d’elles figure Besançon, mais vue sous un autre angle que le cliché présenté dans le magazine. Là, les platanes de Chamars prennent leurs aises au premier plan. Impressionnant! Il suffit de cliquer sur ce lien pour l’admirer.

Qui-Que-Quoi : GEO, n°324 de février 2006. En vente en kiosque 4,90€.
Site internet : www.geomagazine.fr.