Besançon Info

Rappelez-vous. En janvier dernier, tous les médias locaux en ont parlé. Durant quelques jours, Besançon, comme d’autres cités comtoises, subissait un pic de pollution par les poussières fines.
Mais d’où proviennent ces particules? Pourquoi ce pic de pollution ? Est-ce normal? Qu’en est-il des effets sur la santé ? Quels niveaux ont été atteints durant cet épisode? Aujourd’hui toutes les réponses à ces questions sont données sur le site d’Atmo Franche-Comté.

Ce 21 février débute le 7e Open de Franche-Comté, Internationaux de tennis du Doubs. Jusqu’au 1er mars, joueurs confirmés ou futurs champions d’une quinzaine de nations s’affronteront sur le site du pôle espoirs de Thise, à deux pas de Besançon. A noter qu'il est possible de suivre les matchs en video via le site du Conseil général du Doubs.

En savoir plus : programme, joueurs inscrits, tarifs et lien vers les vidéos en direct sont sur le site de la manifestation.

Avez-vous remarqué, si vous êtes récemment passé par le quartier Battant à Besançon, que l’un des cadrans de l’horloge de l’église de la Madeleine était cassé? En cause: une rafale de vent qui, lors de la tempête du 10 février dernier, a fait éclater cette plaque de verre trempé dépoli de 1,10 mètre de diamètre mais seulement 5 millimètres d’épaisseur. Ce cadran devrait fort heureusement bientôt être réparé par le remplacement de cette plaque, redonnant à cet édifice tout son lustre.

© Besançon Info

Au printemps 2009, la Compagnie de la Cancoillotte revient sur la scène du Petit Kursaal de Besançon. Cette année, cette troupe bisontine de théâtre amateur se produisant au profit d’associations caritatives ou humanitaires a choisi de monter L’Avare de Molière et de reverser les bénéfices de ses trois représentations à l’association PANI qui œuvre au Bénin pour l’éducation des enfants et notamment au développement d’une école primaire en brousse dans la région d’Abomey.

Où-Quand-Comment : L’Avare de Molière par la Compagnie de la Cancoillotte. Samedi 28 mars à 15h et 20h30, dimanche 29 mars à 15h. Tarifs adulte 12 euros, enfant 8 euros.
Rens. au 03 81 61 02 68 entre 18h et 21h.

Pas facile de circuler dans Besançon lorsque la neige s’est annoncée dans la nuit ou tôt le matin. Les Bisontins viennent par deux fois d’en faire l’expérience, jeudi dernier et hier. Il me semble que les flocons ne causaient pas tant de problèmes il y a quelques années. Mais peut-être y avait-il moins d’automobilistes?

Haies et arbres près de la CCI© Besançon Info

Le dernier numéro du magazine Pays Comtois consacre, sous la plume du journaliste Frédéric Chevalier, deux pages au théoricien socialiste bisontin Pierre-Joseph Proudhon. Non pas à sa vie, juste évoquée, mais à ses archives que ses petites-filles ont pris soin de déposer en 1965 à la bibliothèque municipale de Besançon. On y apprend qu’il s’y trouve notamment plus de 3000 feuillets de manuscrits de sa main dont certains textes inédits. Et que depuis 2 ans, un chercheur américain travaille sur ces documents en vue d’une publication prochaine.

Qui-Que-Quoi : Pays Comtois 82, 20 janvier-20 mars 2009. En vente en kiosque 6,50 euros.

Dans le cadre de la constitution des nouveaux Conseils consultatifs d’habitants mis en place par la ville de Besançon (lire à ce sujet la note du 10 février 2009), après le tirage au sort des deux premiers collèges vient le tour de l’élection des membres du troisième parmi des acteurs économiques, associatifs et sociaux ayant déposé leur candidature pour chacun des 13 quartiers.
Cette élection a lieu ce lundi 16 février à la mairie (salle Courbet, 6 rue Mégevand). Son dépouillement à 20 heures est public. Tout un chacun peut donc y assister s’il le souhaite.

Impossible de ne pas savoir où l’on se trouve lorsqu’on lève le nez dans cette petite rue qui donne sur la rue Marulaz à Besançon. Outre la plaque bleue traditionnelle, on peut lire en effet son nom gravé dans la pierre, juste au dessus. La rue Thiémanté s’orthographiait donc autrefois “de Tyemanté”. Jean-Pierre Gavignet et Lionel Estavoyer dans leur livre “Besançon ses rues, ses maisons” attribuaient ce nom à une déformation de l’appellation médiévale de cette rue qui aurait été Viremanté ou Tiremanté, signifiant tire-manteau. C’est ainsi que l’on nommait au moyen-âge les voleurs, qui devaient apparemment fréquenter ces lieux.