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21.12.2006

Le chiffre de la semaine

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En 2006, dans le cadre de la décentralisation, l’Etat a transféré certaines routes nationales aux Départements qui se devaient de les rebaptiser en routes départementales. En référence à cette année et pour nous simplifier les choses, le Conseil Général du Doubs, comme certains de ses voisins, a choisi ce chiffre 6 pour cette nouvelle numération. Ainsi, la RN73 devient la RD673 de Besançon à Saint-Vit et conserve cette numérotation dans le Jura. De même, la RN83 s’appelle désormais RD683 de Besançon à Aibre, ainsi qu’en Haute-Saône. Plus simple pour s’y retrouver que s’il avait été question d’un changement total ou de deux numéros différents d’un département à l’autre.
Quant à diverses voies du Pays de Montbéliard dont le Conseil Général du Doubs a également héritées, elles adoptent elles aussi ce système de numérotation en 600.

Qui-Que-Quoi : Le Département de Doubs s’est vu doté, le 1er janvier 2006, de 145 km de routes et bretelles supplémentaires. Pour l’ensemble de ces voies, une nouvelle signalétique matérialisant leur statut de départementales sera prochainement mise en place. Réalisée par les services de l’Equipement, elle sera financée par le Conseil Général du Doubs par les crédits alimentés par la compensation financière attribuée par l’Etat dans le cadre du transfert de ces routes.

20.12.2006

Un service municipal d’archéologie bientôt à Besançon

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Montbéliard avait le sien depuis déjà quelques années. Lors du dernier Conseil Municipal, lundi 18 décembre, les élus de Besançon ont voté la création d’un service municipal d’archéologie préventive. Celui-ci sera chargé de la phase “diagnostic” qui a pour but de décider de la nécessité de procéder à des fouilles à l’occasion d’opérations d’aménagement ou de travaux et d’en définir le cahier des charges. Jusqu’alors, ces diagnostics, comme les fouilles d’ailleurs, étaient menés dans notre cité au très riche sous-sol par l’INRAP (Institut National de Recherche pour l’Archéologie Préventive).

© Besançon Info : détail de la mosaïque gallo-romaine de la Méduse, actuellement exposée au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon et qui dormit durant de longs siècles dans les entrailles de Besançon, sur le site du collège Lumière.

19.12.2006

Généreux cadeau

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Jusqu’au 23 décembre, le joaillier bisontin Rémy Mouillet expose dans sa boutique de la rue Bersot, quatre bagues, réellement pas comme les autres. Pas comme les autres car celles-ci vont donner un peu de bonheur, non seulement aux femmes qui vont se les voir offrir (ou se les offrir) pour Noël, mais aussi à d’autres femmes, contraintes de fréquenter les services de cancérologie du CHU Jean Minjoz de Besançon.
Explications : récemment a été fondée l’association “Les Portes Bleues” dont le but est de proposer aux femmes atteintes d’un cancer, une parenthèse de bien-être dans leur quotidien difficile. Souvent amené à recevoir dans sa boutique des clientes frappées par la maladie, Rémy Mouillet s’est senti touché par cette initiative et a choisi d’aider cette association. Aussi, a-t-il décidé de créer pour elle quatre bagues en or jaune, serties de saphirs, chacune d’une valeur de 400 euros.
Pour simplifier leur commercialisation, il expose actuellement ces bagues dans son magasin où elles peuvent être réservées. Mais c’est l’association elle-même qui se chargera de la vente qui lui rapportera donc une somme de 1600 euros. Celle-ci lui servira à acheter les produits de beauté nécessaires au fonctionnement d’ateliers "beauté", instants «bien-être» qui seront proposés gratuitement dans les services de chimiothérapie, oncologie et hématologie du CHU Jean Minjoz de Besançon, par une esthéticienne et une coiffeuse professionnelles. Ceci afin de permettre à ces femmes d’affronter les transformations de leur corps et reprendre confiance en elles.

Qui-Que-Quoi : ces quatre bagues, d’un montant de 400 euros pièce, sont exposées chez Rémy Joaillier jusqu’au 23 décembre, 49 rue Bersot à Besançon, où elles peuvent être réservées.
En savoir plus sur Rémy Joaillier: www.remy-joaillier.com
En savoir plus sur l’association: “Les Portes Bleues”, 67 Boulevard Léon Blum à Besançon.

18.12.2006

Bacchus sur le web

Savez-vous que le Théâtre Bacchus dispose depuis quelques mois d’un site internet qui jusqu’alors lui faisait considérablement défaut. Tout simplement baptisé www.theatrebacchus.com, il présente cette compagnie de Besançon, ses créations, la programmation 2006-07 de son théâtre, ses stages et ateliers, sa chapelle-salle d’exposition, son actualité... Bref, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Bacchus.
Du coup, je m’empresse d’ajouter cette adresse aux liens permanents affichés sur la page d’accueil de www.besanconinfo.com, colonne de gauche dans la rubrique “sortir à Besançon”.

17.12.2006

Besançon à quatre mains

Besançon. Une cité née de sa rivière. Sans laquelle rien n’aurait été pareil. Assurément”. Ainsi débute le dernier livre de Lionel Estavoyer et Pierre Duc. Un ouvrage à quatre mains qui valorise le coeur de notre ville ceinturé par le Doubs. Tandis que Lionel Estavoyer a laissé courir sa plume pour retracer l’histoire de Besançon , anecdotes à l’appui, Pierre Duc a croqué paysages et monuments de la Boucle à la sanguine, au fusain ou à l’encre. Une belle idée de cadeau de Noël pour les amoureux de Besançon.

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Qui-Que-Quoi : “Besançon, tout autour de la Boucle”, 37 dessins de Pierre Duc, texte de Lionel Estavoyer. 82 pages. En vente dans les librairies de Besançon et à la Maison de la Presse à 38€. Ce livre existe aussi en version “bibliophile” moyennant 89€.

16.12.2006

S’essayer au biathlon ... à Besançon

Vous ne savez pas quoi faire ce week-end. Pourquoi ne pas vous essayer au biathlon. Pour cela, pas besoin de monter dans le Haut-Doubs, sur la terre des champions olympiques. Mais direction la promenade Granvelle à Besançon. Samedi et dimanche, à l’initiative de la Ville et en collaboration avec l’Olympique Mont d’Or, il sera possible de s’initier, en famille ou entre amis, à cette discipline sportive qui allie ski et tir à la carabine. Des carabines qui à Besançon seront “laser”, sécurité oblige.
Et pour ceux qui rêvent de s’élancer sur les étendues immaculées, sachez qu’il faudra encore attendre un peu l’ouverture de la station de Métabief. En revanche, le domaine skiable des Rousses est partiellement ouvert, tant en ski nordique qu’en alpin.

Où-Quand-Comment : initiation au biathlon (à partir de 8 ans), samedi 16 et dimanche 17 décembre de 15h à 18h, promenade Granvelle à Besançon. Encadrement par des moniteurs diplômés. Accès gratuit.
En savoir plus sur les possibilités de ski sur la station des Rousses: un clic sur www.lesrousses.com.

15.12.2006

Schütz et Charpentier ... ou Mozart

Tous les ans, Noël est prétexte à concerts. Cette année ne déroge pas à la règle. En effet, demain le Choeur Schütz assisté de l’Ensemble instrumental baroque, sous la direction de Jean Mislin, propose d’entendre “L’Histoire de la Nativité” d’Heinrich Schütz et “La messe de minuit” de Marc-Antoine Charpentier.
Mardi, c’est Contre Z’ut (choeur et orchestre) qui se produit dans le “Requiem de Mozart”, version de Rio 1821. A noter que ce concert est parrainé par le Rotary club Besançon et que les bénéfices permettront de financer des actions humanitaires.

Où-Quand-Comment :
- samedi 16 décembre à 20h30, “concert de Noël” du Choeur Schütz, cathédrale Saint-Jean, rue de la Convention à Besançon. Tarif 15€ (réduit 10€). Location chez Cart, Forum et à l’office de tourisme de Besançon.
- mardi 19 décembre à 20h45, “Requiem de Mozart” par Contre Z’ut, église Saint-Joseph, avenue Villarceau à Besançon. Tarif 20€ (réduit 12€). Location chez Biétry musique et à l’office de tourisme de Besançon.

13.12.2006

Qu’en dira-t-on dans 100 ans ?

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Durant plus de 100 ans, elle se dressa fièrement au bout du boulevard Diderot à Besançon et vit défiler en ses murs des régiments d’appelés. Dans quelques jours, il ne restera plus qu’un amas de terre, de pierre et de métal de la Caserne Lecourbe. La grue la grignote petit à petit et bientôt le terrain libéré permettra la construction de nouveaux logements.
C’est un peu du passé militaire de notre ville qui disparaît. Espérons que dans 100 ans, les Bisontins ne nous reprocheront pas d’avoir laisser démolir ce patrimoine des premières années du XXe siècle. Mais après tout, personne ne nous a demandé notre avis.

Qui-Que-Quoi : la Caserne Lecourbe, appelée aussi Caserne des Chaprais ou Caserne de la Manutention avait été construite à partir de 1901. Destinée à l’origine à remplacer la “manutention militaire” de la rue Saint-Pierre (l’actuel Centre Pierre Bayle), elle abritait il y a 20 ans le centre de préparation militaire inter-armes, ainsi que les bureaux de documentation des carrières de la marine et d’Air-informations.


© Besançon Info.