Besançon Info

Notre chanteur bisontin Aldebert, version plastique. C’est ce que l’on découvre en cliquant sur le site professionnel de Raphaël Baud, un graphiste hier à Besançon et aujourd’hui expatrié à Bresilley, en pleine campagne haut-saônoise. Et si l’on explore davantage les pages de ce site présentant ses divers travaux, on y trouve une autre caricature de quelqu’un de bien connu de tous les Bisontins. Indice : cherchez la cédille.

Qui-Que-Quoi : pour voir Aldebert, version plastique, un clic sur ce lien. Après vous n’aurez plus qu’à retourner au centre-ville et chercher la cédille

Deux représentations ont déjà eu lieu en décembre à Bolandoz et Pontarlier. Mercredi, c’est au tour de Besançon d’accueillir “Le paradis des chats”. Cet opéra pour voix d’enfants et orchestre inspiré d’un conte populaire japonais sera interprété par une vingtaine d’enfants du CFCMA (Centre Familial pour une Culture Musicale et Artistique) de Fertans accompagnés de musiciens franc-comtois. Il y sera question d’une pauvre orpheline, d’une orgueilleuse noble dame et d’une petite chatte noire.

Où-Quand-Comment : “Le paradis des chats”, mercredi 24 janvier 2007 à 18h30, au Grand Kursaal, place du théâtre à Besançon. Tarif 10 euros (5 euros pour les moins de 16 ans, les étudiants et les chômeurs). Tout public.
Renseignements et réservations au 03.81.60.35.25 ou 03.81.86.48.07.

Il y a 7 mois, le magazine Le Point positionnait le CHU de Besançon au 25e rang sur 700 hôpitaux (lire la note du 19 juin 2006). Aujourd’hui, le magazine L’Express publie lui aussi un classement des Hôpitaux et là Besançon se retrouve 6e sur 72. Curieux ... pourrait-on penser !
Cette différence s’explique par le fait que ces deux journaux ne se basent pas sur les mêmes critères. Alors que Le Point jugeait les performances des diverses spécialités, L’Express se penche sur la question de l’hygiène, des infections et des maladies nosocomiales. A l’appui pour définir les hôpitaux “les plus sûrs”, les chiffres du ministère de la Santé.
Afin de comparer ce qui est comparable, le classement a été réalisé en fonction de l’importance et du statut des établissements.
Donc, Besançon arrive 6e des 72 CHR-CHU. A noter aussi le très bon classement de Baume-les-Dames et Morteau qui occupent respectivement les 2e et 31e rangs parmi les 349 “hôpitaux locaux”.
Du côté des 321 cliniques privées de plus de 100 lits, Saint-Vincent se place assez bien, au 31e rang, tandis que la Polyclinique de Franche-Comté se trouve à mi-parcours en atteignant la 177e place.

Qui-Que-Quoi :
- L’express n°2898 du 18 au 24 janvier 2007. En vente en kiosque 3€.
- à lire aussi en ligne sur le site de L’Express

En avant goût des “Noces de Figaro” qui sont programmées à la fin du mois sur la scène de l’Opéra-théâtre de Besançon, les chanteurs des Vergers d’Euterpe donneront demain un récital gratuit autour de cette oeuvre de Mozart dans les locaux du C.L.A. Ils seront pour l’occasion accompagnés au piano par Christophe Manien.

Où-Quand-Comment : récital d’airs d’opéra autour des “Noces de Figaro”, vendredi 19 janvier 2007 à 19 heures, C.L.A., 6 rue Gabriel Plançon à Besançon. Entrée libre.
Renseignements et réservations au 03.81.66.52.22.
En savoir plus sur “Les noces de Figaro” à l’Opéra-théâtre et sur les Vergers d’Euterpe : un clic sur www.opera-besancon.com

Hier à 12 heures, l’Insee a livré sur son site internet les estimations de population issues des trois enquêtes annuelles de recensement 2004, 2005 et 2006.
Verdict: au 1er janvier 2007, nous serions en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer 63,4 millions de personnes. Pour Besançon, les chiffres publiés datent du 1er janvier 2005. Nous étions alors 115400 habitants dans la capitale comtoise.

En savoir plus sur les chiffres des recensements 2004, 2005 et 2006: un clic sur le site de l’Insee.

A l’angle des avenues Denfert-Rochereau et Carnot, la maison qui au rez-de-chaussée abrite un café ne paye pas de mine. Pourtant, à y regarder de plus près, on découvre le balcon. Et là, surprise!
Celui-ci révèle en effet un élégant motif art nouveau figurant des fleurs. Si vous passez par là, un conseil: levez le nez. Cela vaut largement la peine.

Depuis 2004, le recensement à Besançon, comme dans toutes les autres communes françaises de plus de 10000 habitants, a lieu tous les ans. Mais il ne concerne chaque année qu’un échantillon de 8% de la population bisontine, prévenu par courrier avant la visite des agents enquêteurs. Munis d’une carte officielle avec photographie, ceux-ci se rendront au domicile des personnes sélectionnées entre le 18 janvier et le 24 février 2007.
Si vous faites partie du lot, sachez que la participation au recensement est considérée non seulement comme un acte civique mais aussi comme une “obligation” conformément à la loi du 7 juin 1951.

En savoir plus sur le recensement 2007 à Besançon : un clic sur le site de la Ville

Mais qui sont ces deux princesses qui ont inspiré la dénomination de cette rue de Besançon qui mène de la rue de Belfort au cimetière des Chaprais.
Dans “Mon vieux Besançon”, Gaston Coindre rapportait que cette appellation venait de celle d’une auberge qui se trouvait là. Dans “Les rues de Besançon”, Evelyne Toillon précise, qu’en 1779, était situé à cet endroit “L’hôtel des trois princesses”, sorte de “maison de plaisir” pour les bourgeois de la ville. Nos “princesses” n’aurait donc apparemment rien de très aristocratique! Et où est donc passée la troisième? Nul ne le sait plus aujourd’hui.