Besançon Info

Juste pour vous préciser que j’ai appris que pour pénétrer sous le chapiteau où se déroulent, aujourd’hui encore, les alléchantes animations de “Chocolat en fête” (lire la note du 16 mars 2007), il faut mettre la main à la poche. Eh oui, malheureusement, l’entrée est payante. Compter 3€ en tarif normal (réduction pour les moins de 12 ans).

Pasteur, vous connaissez ! Grâce à ce savant, né en 1822 à Dole, la lumière fut faite sur le mécanisme de l’infection chez l’homme et l’animal par les virus et microbes, sur les moyens de lutter contre ces germes et d’en prévenir l’apparition par la vaccination. Quant à ses recherches dans le domaine de la fermentation, elles aboutirent également à l’amélioration des techniques de vinification. Besançon lui rend hommage par une rue, une place, un lycée, un buste, un pavillon de son hôpital Saint-Jacques. Mais savez-vous que le père de Louis Pasteur était né à Besançon en 1791, au 53bis de la rue d’Arènes. Apposée contre la façade de cette demeure, une plaque en rappelle le souvenir.

Les gourmands, petits et grands, vont se lécher les babines tout le week-end à Besançon. La grande tente de plus de 1000 mètres carrés qui a été installée ces derniers jours sur la place de la Révolution va en effet accueillir “Chocolat en fête”, manifestation organisée par l’union des artisans pâtissiers chocolatiers du Doubs. Aux côtés de certains de leurs collègues franc-comtois, tous nos plus grands pâtissiers et chocolatiers bisontins seront là, soit les maisons Baud, Belin, Ricot, Grandvoinnet et Fleury.
Au menu de ces deux jours de succulents rendez-vous: des dégustations et démonstrations de savoir-faire bien sûr, mais aussi des concours de pièces conçues par des professionnels et des apprentis, une école du chocolat et des défilés... de robes en chocolat.
A noter également la présence de maîtres-cuisiniers. Parmi eux, Jean-François Maire a prévu, dimanche à 15 et 18 heures, de présenter la fabrication de glaces, meringues instantanées ou “effet dragon”, toutes au chocolat et réalisées à l’aide d’azote. Il livrera aussi une surprenante recette de Saint-Jacques en vinaigrette cacaotée.

Où-Quand-Comment : “Chocolat en fête”, samedi 17 et dimanche 18 mars 2007, place de la Révolution à Besançon. Le samedi de 11h à 22h et le dimanche de 10h à 18h30.

Avez-vous déjà remarqué que, lorsque l’on porte les yeux vers le clocher de l’hôpital Saint-Jacques depuis le Petit Chamars, celui-ci se trouve encadré par les tours du Roi et de la Reine de la Citadelle de Besançon. La preuve avec cette photo prise dans notre belle ville de Besançon mardi matin.

C’est le nombre de choristes qui, accompagnés de musiciens professionnels, seront présents dimanche à l’église Saint-Louis, dans le quartier de Montrapon à Besançon, pour le concert “Mille Choeurs pour un regard”. Issus de la chorale de Thoraise (CAEM Planoise), d’Atout Choeur (Châtillon-le-Duc), de la Chorale Universitaire (Besançon), de La clé des chants (Noironte), de Cantabile (Quingey) et de Choeur à corps (Avanne) , ceux-ci vont mêler leurs voix au profit de la recherche sur les maladies de la vue qui touchent plus d’un million et demi de personnes dans notre pays.

Où-Quand-Comment : Concert “Mille Choeurs pour un regard”, dimanche 18 mars 2007 à 18h, église Saint-Louis, rue de Montrapon à Besançon. Tarif 5€ (tarif réduit à 3€).
Rens. au 03.81.51.21.36 ou sur www.caem-planoise.asso.fr".

Savez-vous que prochainement devrait entrer en vigueur la décision du 8 novembre 2006 du Comité interministériel de la sécurité routière qui instaure la modification du système de récupération de points. Principale mesure, les automobilistes qui n'ont perdu qu'un seul point pourront le récupérer au bout d'un an, au lieu de trois auparavant, s'ils n'ont pas commis de nouvelles infractions. Mais, pour ceux qui en auraient perdu davantage, il faudra toujours attendre un délai de 3 ans, sans infractions entraînant une perte de points dans l’intervalle, afin de pouvoir retrouver l’intégralité de son capital de points. Aussi, ont-ils toujours intérêt à suivre un stage de sensibilisation à la sécurité routière, formation de deux jours qui leur permet en effet de récupérer 4 points par anticipation. Au nombre des centres agréés qui dispensent cette formation, l’Automobile Club Action + Bourgogne Franche-Comté organise justement prochainement deux stages de ce type.

Où-Quand-Comment : “stages de sensibilisation à la sécurité routière” organisés par l’Automobile Club Action + Bourgogne Franche-Comté, les lundi 26 et mardi 27 mars ou les vendredi 6 et samedi 7 avril 2007 à Micropolis, 3 boulevard de l’Ouest à Besançon. Tarif 245€ le stage de deux jours.
Renseignements au 03.81.41.32.32 ou sur le site www.automobileclub.org.

Une conférence, des ateliers danse pour les étudiants en médecine et professions paramédicales, ainsi qu’un spectacle qui mêle documentaire, pièce chorégraphique et film artistique. Tels sont les rendez-vous orchestrés du 14 mars au 5 avril 2007 à Besançon, en prélude à l’exposition automnale du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. Celle-ci mettra en lumière le travail de restauration de l’une des oeuvres majeures des collections de peintures de cet établissement. A savoir “La déploration du Christ” de Bronzino, peintre florentin du XVIe siècle.

Où-Quand-Comment :
- mercredi 14 mars à 18h30: "De Florence à Besançon : la Déploration du Christ de Bronzino et l'art maniériste" conférence par Bertrand Bergbauer, conservateur au musée de la Renaissance/Château d'Ecouen, faculté des lettres (Amphi Lévêque), rue Mégevand à Besançon. Entrée libre et gratuite.
- lundi 26 mars de 19h à 22h et lundi 2 avril de 20h à 22h: ateliers danse conduits par la danseuse Geneviève Pernin, Campus de la Bouloie (Salle Jenny d'Héricourt) à Besançon, réservé aux étudiants en médecine et professions paramédicales. Inscription gratuite et obligatoire au 03.81.66.51.78 ou 03.81.48.46.08).
- jeudi 5 avril à 20h: spectacle "Sous les couches et les couches de peinture, le pigment de la peau" par Geneviève Pernin, Petit Théâtre de la Bouloie à Besançon. Entrée libre et gratuite.

De loin, les barreaux des fenêtres du rez-de-chaussée de la maison qui se dresse au 8 rue des Frères Mercier à Besançon semblent anodin. De près, leur partie centrale révèle des têtes de lion. Encore une preuve de l’importante présence des fauves dans notre ville.