Besançon Info

Une visite de l’exposition “La momie aux amulettes” et une activité en lien avec l’Egyte ancienne. C’est ce que propose le musée des Beaux-Arts et d’Archéolgie de Besançon aux enfants de 6 à 12 ans plusieurs mercredis après-midi jusqu'à la fin de l’année. Bien sûr il faut réserver, le nombre de places étant limitées à 12 participants.
Quatre thèmes seront alternativement abordés : hiéroglyphes, fabrique ton amulette, les Dieux égyptiens et enfin saveur, épices et cuisine en Egypte.

Où-Quand-Comment : “Les mercredis du musée“ (animations pour les 6-12 ans), musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon, le mercredi de 14h30 à 16h30 à compter du 1er octobre 2008. 1,50 euros la séance sur inscription.
En savoir plus : un clic sur le site du musée.

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Cette année, “Les Vieux samedis” proposés par la Jeune Chambre Economique de Besançon et l’ABCB (association des Brocanteurs et Commerçants de Besançon) offraient deux rendez-vous à Granvelle pour les amateurs de brocante. Le premier eut lieu en mai. Le second se déroule ce samedi 27 septembre, de 8 heures à 18 heures avec la présence d’une soixantaine de professionnels venus de Franche-Comté mais aussi d’ailleurs. De quoi trouver son bonheur que l’on cherche meubles, vaisselles, bouquins, bibelots, tableaux, argenterie ou mille autres objets d'antan ou des dernières décennies.

"Gourmandises en éprouvettes” au Jardin botanique, “sports disséqués” au Gymnase de l'IUFM, “momies déshabillées” au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie et “chercheurs en vitrine” à la Présidence de l'Université de Franche-Comté. Telles sont les quatre propositions lancées aux Bisontin(e)s ce soir, entre 18 heures et 1 heure du matin dans le cadre de la Nuit des Chercheurs. Entre terrain de foot et casserole, sarcophage et comédiens, la recherche prend une toute autre dimension et révèle des domaines réellement insoupçonnés. Tout est gratuit et la soirée s’annonce non seulement fort instructive mais aussi très conviviale.

En savoir plus : tous les détails du programme de la Nuit des Chercheurs à Besançon sont en ligne sur http://sciences-en-culture.univ-fcomte.fr

A Besançon, pousser une porte peut révéler des surprises. Comme celle de découvrir, au coeur de la Boucle, sous un escalier cette fresque représentant un paysage italien de bord de mer ou de lac. Une peinture qui daterait de la fin du XIXe siècle et aurait bien besoin d’une restauration.

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La cour d’honneur de l’hôpital Saint-Jacques compte parmi les joyaux architecturaux de Besançon. Les sobres bâtiments en U au rez de chaussée desquels court une galerie à arcades, les allées d’arbres et les parterres réguliers, la superbe grille en fer forgé noir et or constituent un espace remarquable. Enfin pas tous les jours! Seulement ceux où il ne se transforme pas en parking. Certains jours, l’harmonie des lieux se trouve en effet gâchée par un alignement de véhicules qui seraient cent fois mieux dans le parking de la Mairie, juste de l’autre côté de la rue, ou dans celui de Chamars quelques dizaines de mètres plus loin.

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Elles se sont installées à Besançon le long du Doubs. Les plantes invasives posent problème car elles gagnent sans cesse davantage de terrain au détriment de leurs cousines autochtones. De quoi leur accorder un grand intérêt. C’est pourquoi la Direction des Espaces verts de la Ville de Besançon a choisi d’en faire, mercredi, le thème de l’une des sorties qu’elle propose dans le cadre du programme ”Nature et Couleurs”.
Durant une balade pédestre d’environ 2 heures sur les berges des Prés de Vaux, les participants découvriront ainsi certaines de ces plantes invasives, leurs cycles végétatifs et les méfaits qu’elles occasionnent à la flore et la faune indigènes. Des conseils seront donnés sur les précautions à prendre et les actions à mettre en place face à cette flore colonisatrice (espèces à ne plus planter dans son jardin, comment ne pas les disséminer, etc.).

Où-Quand-Comment : balade “découverte de plantes invasives le long des berges du Doubs”, mercredi 24 septembre 2008. RV à 14 heures au stade des Prés de Vaux à Besançon avec des chaussures de marche. Gratuit.

Aujourd’hui 22 septembre 2008 à très exactement 15 heures 44, nous glissons de l’été à l’automne. Si à Besançon, depuis quelques jours, les températures nous préparent à approcher à grand pas de l’hiver, la nature semble par endroit vouloir se faire prier pour quitter l’été. Ainsi, à ce jour, le chêne de la place Pasteur est toujours aussi vert. Quoique! A y regarder de plus près, trois feuilles rousses annoncent la couleur à leurs congénères.

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Il y a tout juste 450 ans, le 21 septembre 1558, Charles Quint s’éteignait à l’âge de 58 ans. Prince des Pays-Bas, roi d’Espagne et de Sicile, il fut également empereur du Saint-Empire Romain Germanique dont dépendait Besançon alors ville libre impériale. Parallèlement, il fut, en tant qu’héritier du Comté de Bourgogne, le souverain de l’actuelle Franche-Comté.
Durant plus de 200 ans, les Bisontins et voyageurs qui arpentaient la Grande-Rue pouvaient le voir, statufié dans la niche de l’hôtel de ville de Besançon. Réalisée dans les années 1566-1568, cette oeuvre du sculpteur comtois Lullier le représentait couronné de lauriers et brandissant une épée, à cheval sur l’aigle bicéphale des Habsbourg. Des deux becs de l’oiseau se déversait de l’eau qui, lors de grandes occasions, fut parfois remplacée par du vin.
Fondue à la Révolution, cette sculpture pourrait renaître. Certains évoquent en effet en ce début du XXIe siècle, sa réfection et sa réinstallation en lieu et place de l’actuel jet d’eau.

© statue de Charles Quint. Dessin de Gaston Coindre dans son ouvrage "Mon Vieux Besançon".