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04.02.2006

Besançon vue d’hélico

En kiosque depuis quelques jours, le nouveau numéro du magazine GEO annonce sur sa couverture “Le Jura vu d’hélico”. Heureuse surprise pour nous Bisontins, Jura ne signifie pas ici département mais massif. Et la beauté de Besançon n’a pas échappé au photographe Franck Mulliez qui a fixé son objectif sur dix sites majeurs du Doubs et du Jura.
La photo qu’il publie pour notre ville est réellement superbe. Le coeur ancien se love dans sa boucle du Doubs où se baignent les nuages, tandis que la futaie des arbres de la promenade Chamars resplendit de lumière. Quiconque habite le centre-ville s’amuse à chercher sa maison. Ce que j’ai fait bien sûr! Puis, j’ai pris le temps de regarder ce cliché plus en détail. J’ai alors remarqué combien était harmonieux le quartier Saint-Amour bâti au XIXe siècle. Rue d’Alsace, rue de Lorraine, square Saint-Amour, rue Proudhon, rue de la République, rue Morand, les façades paraissent, vues du ciel, toutes identiques. Les toits courent à la même hauteur donnant une grande unité aux îlots. Détails que l’on ne prend généralement pas le temps d’observer depuis le trottoir!
Une autre heureuse surprise attend les Bisontins sur le site internet de GEO où le numéro en vente est bien évidemment évoqué, sommaire à l’appui. Pour illustrer l’article “Le Jura vu d’hélico”, deux photos en ligne. Et l’une d’elles figure Besançon, mais vue sous un autre angle que le cliché présenté dans le magazine. Là, les platanes de Chamars prennent leurs aises au premier plan. Impressionnant! Il suffit de cliquer sur ce lien pour l’admirer.

Qui-Que-Quoi : GEO, n°324 de février 2006. En vente en kiosque 4,90€.
Site internet : www.geomagazine.fr.

03.02.2006

Quand à Besançon on construisait des voitures

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Jadis à Besançon, étaient fabriquées ... des automobiles. Pour ceux qui en douteraient, en voici la preuve formelle avec cette publicité extraite d’une plaquette sur la Franche-Comté publiée entre 1911 et 1913. A cette époque, les voitures “Théodore Schneider et Cie” étaient présentées au Salon de l’Automobile et participaient aux courses tant françaises qu’étrangères. De plus, elles étaient considérées “comme des voitures ne tombant jamais en panne”, “d’une belle ligne” et ‘”disposant d’applications techniques”.
C’est ce que l’on apprend en lisant le dernier numéro de “L’Ascenseur”, le petit journal du quartier Grette/Butte à Besançon. Celui-ci consacre en effet deux pages à l’ingénieur et fabricant d’automobiles Louis Ravel qui créa cette marque à Besançon avec deux associés avant de lancer en 1922 les voitures Ravel.

En savoir plus : Il suffit de se procurer le n°56 de janvier-février 2006 de L’Ascenseur ou de se reporter à l’ouvrage “Les automobiles de Besançon 1900-1930” par Marc Douez D’Ollandon et Raymond Dornier.
Rens. : Maison de Quartier Grette-Butte, 31 bis rue Brûlard à Besançon.
Tél.03.81.87.82.40. E-mail: mdq.grette@besancon.com.

02.02.2006

La Chandeleur, c’est aujourd’hui

Savez-vous qu’à l’origine, la Chandeleur était une fête religieuse. Celle de la purification de la Vierge où l’on bénissait les cierges... d’où “chandeleur”.
Dans son ouvrage “Proverbes et Dictons de Franche-Comté” publié en 1981, Robert Bichet signalait que la Chandeleur était en Franche-Comté une fête importante. “Après la cérémonie religieuse, le chef de famille, le cierge allumé à la main, bénissait sa famille agenouillée et lui souhaitait “bonne oeuvre”. Il bénissait ensuite les bêtes à l’étable pour préserver le bétail des maladies. La cire du cierge de la Chandeleur passait pour être le plus précieux talisman contre les maléfices et les sortilèges”, racontait-il.
Aujourd’hui, la coutume a changé. Il est d’usage, pour la Chandeleur, de faire sauter des crêpes. Et si l’on a dans la main une pièce d’or, on ne manquera pas d’argent toute l’année.
En Franche-Comté, la Chandeleur est aussi prétexte à de nombreux proverbes. Par exemple : “A la Chandeleur le soleil: l’ours pour 40 jours dans sa caverne”. Moralité, si le soleil brille aujourd’hui, l’hiver n’est pas prêt de tirer sa révérence.

© Besançon Info

01.02.2006

Besançon sur le petit écran dans la France entière

Cela se passera dans la nuit de vendredi à samedi. Sur France 3, édition nationale, est programmée “La nuit de la Franche-Comté”. Au programme, plus de trois heures d’antenne dédiées à Besançon. Les noctambules pourront en effet découvrir tout d’abord le documentaire de 52 mn “Maestro furioso” qui raconte comment s’est déroulé le Concours 2005 des Jeunes Chefs d’Orchestre de Besançon, des présélections de Pékin à la finale à Besançon. Un remarquable documentaire qui nous fait revivre, en musique, les moments forts de cette prestigieuse compétition et nous livre les impressions des candidats et membres du Jury. Ensuite sera diffusé “Coup de maître”, l’enregistrement des 1h20 de la finale de ce 49° concours qui a vu le jeune prodige français de 18 ans, Lionel Bringuier, l’emporter contre l’indonésien Adrian Prabava. Enfin, la soirée se terminera avec “ In progress”, un 52 mn sur les coulisses de “Plic Ploc”, le dernier spectacle du Cirque Plume, de l’idée de départ à la réalisation sur scène (voir à ce sujet la note du 20 janvier dernier concernant la première diffusion de ce documentaire).
Et si vous ne pouvez être devant votre petit écran ce soir là, n’oubliez pas de brancher vos magnétoscopes ou autres enregistreurs de DVD.

Qui-Que-Quoi : La nuit de la Franche-Comté, France 3, vendredi 3 février à minuit et demi (ou, si vous préférez, samedi 4 février à 0h30) en diffusion nationale. A noter, pour les Franc-Comtois et Bourguignons, que le documentaire de 52 mn “Maestro Furioso” sera rediffusé sur France 3 (édition régionale) ce même samedi 4 février à 16h20.
En savoir plus sur le site de France3 Bourgogne Franche-Comté.