UA-104406564-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31.12.2006

Solitaire sapin

medium_sapin.jpg

Décidément à Besançon, cette année, notre Sapin n’a pas trop de chance. Durant les semaines où le marché de Noël avait investi la place de la Révolution, il était engoncé entre les nombreux chalets, voisinant avec ses frères plus petits et eux aussi éclairés. Il avait bien du mal à s’imposer. Et impossible d’avoir du recul pour réellement l’admirer. Depuis le début de cette semaine, alors que les chalets du marché de Noël ont disparu, il se retrouve bien esseulé sur la place. Et l’élégance de son port élancé est nettement cassée par la ceinture de chalets cachant son pied qui, eux, n'ont pas été démontés.
Dommage, à mon avis, qu’il n’ait pas été installé sur la place du Huit Septembre comme c’était le cas auparavant. Il y était majestueux et semblait gigantesque. Cela aurait de plus permis de faire un trait d’union entre le marché de Noël et la patinoire de Granvelle.

30.12.2006

Des voeux exclusivement bisontins

En cette première décennie du XXIe siècle, il est devenu d’usage pour beaucoup de remplacer la traditionnelle carte de voeux écrite à la main et expédiée à son destinataire dans une enveloppe timbrée par une carte virtuelle. Plus économique et plus rapide (surtout pour ceux qui adressent le même message à tout leur carnet d’adresse), cette formule prend chaque année davantage d’ampleur. Pour 2007, la Ville de Besançon se lance dans l’aventure en proposant aux internautes d’envoyer leur voeux via son site officiel. On a alors le choix entre 13 photos issues de la photothèque constituée, rappelons-le, par les photos mises en ligne par des particuliers amoureux de leur cité. Il n’est donc pas impossible que l’un d’eux reçoive une carte virtuelle illustrée de l’une de ses propres photos. De quoi être surpris. A moins bien sûr qu’il n’ait été prévenu de cette nouvelle utilisation de ses clichés par la ville.

Qui-Que-Quoi : pour envoyer une carte de voeux virtuelle illustrée de l’une des photos de Besançon sélectionnées par la Ville dans sa photothèque en ligne, il suffit de cliquer sur www.besancon.fr et de suivre les consignes.

29.12.2006

Un changement d’année à l’ombre de Vauban

Que l’année a passé vite! Dans 2 jours, nous quitterons 2006 pour entrer de plein pied dans 2007. A Belfort-Montbéliard, il est d’usage, depuis quelques temps déjà, que le changement d’année s’accompagne d’un spectacle dans les rues. Pour la première fois, Besançon va faire de même en cette nuit du 31 décembre au 1er janvier. Pour lancer l’année Vauban qui réservera aux Bisontins de nombreuses manifestations échelonnées au fil des mois (lire à ce sujet la note du 30 octobre 2006), le quai Vauban va se transformer ce soir là en une véritable scène de 350 mètres de long. Six canons à images, deux vidéo-projecteurs, un écran d’eau sur le Doubs, des dizaines de projecteurs seront mis à contribution pour rendre hommage à Sébastien Le Prestre de Vauban le temps d’un spectacle monumental gratuit d’environ 25 minutes que l’on nous annonce éblouissant.
Si vous y assistez, n’hésitez pas à nous faire part de vos impressions. N’oubliez pas que les commentaires de www.besanconinfo.com sont ouverts et ne demandent qu’à recevoir de vos nouvelles.

Où-Quand-Comment : pour assister au spectacle monumental “L’homme qui voulut saisir la Lune avec les dents” consacré à Vauban, il faudra se poster sur les quais Veil-Picard et de Strasbourg.
- dimanche 31 décembre 2006 : spectacle complet projeté en boucle de 23h30 à 2h du matin, avec un vin chaud géant offert aux spectateurs.
- les 1er, 2, 3 et 4 janvier 2007 : version “simplifiée” du spectacle, en boucle également, tous les soirs de 17h30 à 21h.

28.12.2006

Une “Cité des Arts et de la Culture” s’annonce à Besançon

medium_port_fluvial.jpg

On avait commencé à parler, il y a quelque temps déjà, de la volonté du Conseil Régional de Franche-Comté d’installer le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain) dans l’ancien bâtiment désaffecté du Port Fluvial de Besançon. Puis, la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon (CAGB) avait envisagé d’édifier le nouveau CNR (Conservatoire National de Région) juste à côté.
Aujourd’hui, les choses se précisent. Et c’est d’une véritable “Cité des Arts et de la Culture” dont il est désormais question en bord du Doubs, sur deux hectares de terrain du Port Fluvial. Le 21 décembre dernier, un avis d’appel d’offres a en effet été lancé auprès d’architectes pour le concours de la maîtrise d’oeuvre de cette “cité” qui regroupera le FRAC et le CNR. A noter que ce programme d’envergure que vont mener de concert les trois collectivités territoriales concernées, soit la ville de Besançon, la CAGB et la Région, dans le but de doter notre cité d’un “grand pôle culturel” reçoit le soutien du ministère de la Culture et de la Communication. A suivre.



© Besançon Info. Etat actuel de l’ancien bâtiment du Port Fluvial.

27.12.2006

Voyage dans la Provence d’hier

medium_creche_prov_1.jpg

Bien sûr, il y a la crèche elle-même et les rois mages qui s’en approchent. Mais l’exposition “Il était une fois... Noël en Provence” ne se limite pas à l’évocation de la naissance du Christ. A l’image des crèches provençales, elle reconstitue tout un village peuplé de 300 santons et automates. Hauts de 30 centimètres, ceux-ci sont mis en scène dans des maisons, sur la place du village, dans la campagne voisine. Métiers d’hier et tranches de vie y sont restitués avec force détails. Il ne faut pas manquer de se montrer indiscret et de jeter un oeil à l’intérieur des demeures. On y découvre par exemple un homme en train de lire son journal... tout en prenant un bain de pied, ou un autre, dans sa cave, appréciant apparemment le vin qui y vieillit en tonneau.
Si cette exposition offre un plaisant voyage dans les traditions provençales, elle est aussi caritative. Elle est en effet organisée au profit du service ophtalmologique du CHU de Besançon par “Amitié et Espérance”, association humanitaire et culturelle créée à Besançon il y a 20 ans. Ainsi, tous les bénéfices des entrées seront reversés à ce service hospitalier pour l’achat de matériel médical destiné aux enfants.


medium_crehce_prov2.jpg

Où-Quand-Comment : exposition “Il était une fois... Noël en Provence”, chapelle du Centre Diocésain (Grand Séminaire), 20 rue Mégevand à Besançon, jusqu’au 14 janvier. Du lundi au samedi de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h. Le dimanche de 14h à 18h. Tarifs: 4€ pour les adultes et 2,5 € pour les enfants de 4 à 17 ans. Tarifs particuliers pour les groupes de plus de 15 personnes.
En savoir plus sur cette exposition: 06.71.84.76.10.
En savoir plus sur l’association “Amitié et Espérance”: 03.81.82.00.60.

.
© Besançon Info.

26.12.2006

Ce n’est pas fini...

medium_robots3.jpg

En cette fin d’année à Besançon, la promenade Granvelle s’était fait voler la vedette par la place de la Révolution qui avait hérité du marché de Noël. Mais voici l’heure de la revanche. Alors que ce dernier vient de fermer les portes de ses petits chalets, les réjouissances se poursuivent à Granvelle. La patinoire extérieure (lire la note du 9 décembre 2006) reste en place jusqu’au 1er janvier 2007. Et si vous n’avez pas encore vu l’exposition gratuite sur les robots au musée du Temps (lire la note du 12 décembre 2006), sachez que celle-ci ne s’achèvera que le 14 janvier 2007.
A un jet de pierre, la chapelle du Séminaire présente jusqu’à la même date “Il était une fois... Noël en provence”. Une exposition qui, à plus d'un titre, vaut largement le détour et dont je vous parlerai plus en détail demain.

©Besançon Info : détail de l'exposition "Robots à la folie" au musée du Temps à Besançon.

25.12.2006

* * * * * * * * * * *

medium_NOEL.JPG

24.12.2006

Métamorphose

medium_sculpt_tronc.jpg

Son destin était d’être abattu. Malade, l’un des platanes centenaires de la promenade Granvelle qui longent les places de stationnement était devenu dangereux pour les promeneurs. Mais plutôt que de le couper à la base, il fut décidé de conserver une partie du tronc. Et d’inviter à son chevet, durant ces deux derniers jours, Denis Sandona. Ce sculpteur à la tronçonneuse installé aux Hôpitaux-Vieux, près de Métabief, s’est mis au travail. Résultat, le vieux tronc s’est métamorphosé en un Père Noël de bois blond.

Où-Quand-Comment: Cette sculpture est visible sur la promenade Granvelle à Besançon, le long de la patinoire provisoire, au moins jusqu’à fin décembre.


© Besançon Info.