Besançon Info

Monsieur Viseur n’a pas conçu que les pièces du jeu d’échecs Vauban dont je vous ai parlé hier (lire la note du 30 septembre 2006).
Il est aussi l’auteur de deux miniatures, en couleur cette fois, reproduisant la tour du Roi à la Citadelle et celle de la Reine.
Celles-ci devraient être prochainement rejointes, dans les vitrines de la boutique de l’Office de Tourisme de Besançon, par d’autres monuments de la ville, en modèle réduit bien sûr.
On annonce l’hôtel de ville, la tour de la Pelote, la porte Rivotte et le palais Granvelle.

Qui-Que-Quoi : miniatures de la tour de la Reine et de la tour du Roi de la Citadelle de Besançon, en vente depuis cet été à l’Office de Tourisme de Besançon, 2 place de la Première Armée Française (parc Micaud)
- Tour de la Reine : 21 euros.
- Tour du Roi : 23 euros.
En savoir plus : 03.81.80.92.55.

© Besançon Info : miniature de la tour de la Reine.

Aimez-vous jouer aux échecs? Si la réponse est oui et que vous êtes Bisontin, vous ne pouvez pas manquer de vous offrir, ou vous faire offrir, le jeu conçu à l’initiative de l’Office de Tourisme de Besançon. Celui-ci troque toutes ses pièces pour de petites figurines en résine inspirées des monuments de notre ville.
Ainsi la tour bastionnée de Rivotte se démultiplie pour servir de pions. La Porte Rivotte joue son rôle de tour. L’une des demi-lunes de la Citadelle fait office de fou. Vauban posant à côté de sa basterne (une chaise à porteur dans laquelle il pouvait écrire en voyageant) remplace le cavalier. Quant aux tours du Roi et de la Reine à la Citadelle, elles deviennent logiquement le Roi et la Reine de ce jeu d’échec 100% bisontin.
En outre, ce ne sont pas ici les blancs et les noirs qui s’affrontent. L’Office de Tourisme a poussé le soin du détail jusqu’à choisir plutôt le bleu-gris et l’ocre-beige, les deux tonalités de la pierre de Chailluz qui colorent la plupart de nos bâtiments du centre-ville.
Que vous dire encore, sinon que l’auteur des pièces est Monsieur Viseur d’Armentières dans le Nord et le plateau-boîte en bois de la version luxe qui évoque les bastions de Vauban est signé de Monsieur Oudot, artisan d’art à Fougerolles.

Qui-Que-Quoi : Jeu d’échecs Vauban, en vente depuis cet été à l’Office de Tourisme de Besançon, 2 place de la Première Armée Française (parc Micaud).
- Pièces et plateau-boîte bastionné : 218 euros.
- Pièces et plateau simple : 87 euros.
- Pièces seules : 54 euros.
En savoir plus : 03.81.80.92.55.

© Besançon Info : gros plan sur Vauban et sa basterne - quelques pièces du jeu.

Si vous n’avez pas encore eu le temps d’aller voir les deux très belles expositions qui se tiennent à Besançon depuis le mois de mai, pas de souci. Toutes deux sont prolongées jusqu’au 31 décembre.
Et si vous y êtes déjà allé, rien ne vous empêche d’y retourner. N’oubliez-pas, le dimanche c’est gratuit.

Qui-Que-Quoi :
- “Le roi, l'empereur et la pendule”, musée du Temps, palais Granvelle, 96 Grande-Rue (pour en savoir plus: lire la note du 12 mai 2006)
- “De Vesontio à Besançon”, musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, place de la Révolution (pour en savoir plus: lire la note du 13 mai 2006)

Il n’y a pas qu’à la une du Point (lire la note du 24 septembre) que Besançon s’affiche en ce moment.
Sorti la semaine dernière dans les bureaux de tabac et maisons de presse de Besançon, le magazine Pays Comtois consacre lui aussi sa couverture à notre cité.
Avec une belle photo signée de Jack Varlet qui nous offre une vue inhabituelle de la ville bordée par le Doubs à Tarragnoz. Ca nous change des clichés classiques de la Citadelle ou des quais.
Le titre “Besançon, la pastorale urbaine” annonce un dossier de 18 pages consacré au côté campagnard de la capitale comtoise. Il y est question, entre autres, des moutons élevés aux Montboucons, des 9 hectares de jardins familiaux, des chauves-souris de la Gare d’Eau, des essences d’arbres de la forêt de Chailluz ou encore des coccinelles qui aident les jardiniers municipaux à lutter contre les parasites. Bref de Besançon, ville verte, telle que vous ne l’avez jamais vue.
A noter aussi, dans ce même numéro, un portrait de Christophe Menozzi qui a repris, à Besançon, feu le Mungo Park.

Qui-Que-Quoi : Pays Comtois, n°68, octobre-novembre 2006. En vente dans les maisons de presse et bureaux de tabac de Besançon au prix de 6,50€.
Si dans d’autres coins de Franche-Comté la couverture de ce Pays Comtois s’orne d’une vue automnale du lac Saint-Point en lien avec le dossier relatif à l’évolution des paysages franc-comtois, on y retrouve également les 16 pages consacrées à Besançon.

© Besançon Info

Avez-vous déjà regardé attentivement le clocher de l’église Saint François Xavier située dans la rue du Lycée à Besançon? Lorsqu'on lève les yeux sur lui depuis le bas de la rue Mégevand, on découvre qu'il est recouvert de tavaillons de bois.
Un matériau que l’on a plus l'occasion de découvrir sur les églises ou les fermes du Haut-Doubs soumises aux rigueurs de l’hiver, que dans la capitale comtoise.

Ce pourcentage révélé par le quotidien le Figaro dans son édition d’hier, 25 septembre 2006, est celui du taux d’élucidation des faits constatés par la circonscription de police de Besançon sur l’année 2005. Comprenez, le pourcentage d’affaires élucidées. Un chiffre qui a augmenté de 4,28 points depuis 2003.
A peine plus de 3 sur 10! Ceux qui ont l’habitude des polars à la télé, au cinéma ou dans la littérature s’étonneront de ces chiffres. Dans la fiction, le coupable est toujours arrêté. Dans la vraie vie, cela est donc bien différent. Car avec son taux de 31,27%, Besançon se positionne en fait très bien. Elle figure au 14e rang dans le classement des 46 circonscriptions de police de plus de 100000 habitants, hors Ile de France. Le meilleur taux, constaté à Thionville, n’est que de 37,01% et le taux moyen national de 28,76%.
Il est toutefois précisé qu’en général, plus les faits sont graves (homicides notamment), plus l’élucidation est forte. Ce sont le plus souvent les cambriolages ou vols de véhicules qui demeurent impunis.

Attention, dans le cadre du festival des Musiques de rues qui se déroulera dans la capitale comtoise du 5 au 8 octobre prochains, il est nécessaire de réserver sa place pour certains concerts même si ceux-ci sont gratuits.
Depuis quelques jours, à cette fin, un Point Info/Réservation s’est installé place du 8 septembre à Besançon. On peut y découvrir le programme complet du festival et retirer ses places pour les spectacles.
Les réservations sont également possibles par téléphone au 03.81.50.00.10 ou 06.31.27.31.65.

Qui-Que-Quoi : Point Info/Réservation du festival Musiques de rues, place du 8 septembre. Ouvert du lundi au samedi de 11h à 14h et de 16h à 19h.
En savoir plus sur ce festival : www.musiquesderues.com.

Impossible de ne pas les voir. De grandes affiches ont été placardées cette semaine dans les vitrines des bureaux de tabac. Notre ville se montre à la une du Point.
Le titre: “Besançon. Le grand lifting”. La photo de couverture: la colline de Bregille avec au premier plan les immeubles en construction à la Mouillère. A l’intérieur: 20 pages placées en fin de magazine qui nous parlent essentiellement des projets urbanistiques de la municipalité sous la plume d’un journaliste de l’Est Républicain, interview du maire et liste des futurs grands projets à l’appui.
Ajoutez à cela: un article sur le DVD de Vesontio en 3D conçu par l’Institut des Sciences et des Techniques Antiques de l’Université de Franche-Comté, un autre sur l’intérêt que pourrait avoir la ville à être classée patrimoine de l’Unesco, quelques précisions sur l’oeuvre de Vauban, une page consacrée à l’université dans laquelle s’exprime son nouveau Président, un zeste de politique, un point sur les expos en cours et à venir, quelques tables choisies et une rencontre avec des orfèvres bisontins.

Qui-Que-Quoi : Le Point avec couverture et pages spéciales Besançon, n°1775 du 21 septembre 2006. En vente dans les maisons de presse et bureaux de tabac de Besançon au prix de 3€.
L’édition nationale ne comporte bien évidemment pas ce cahier spécial et présente une toute autre couverture.