Besançon Info

“Lumières d’Afrique”, le Festival de films africains de Besançon débute samedi. Cette 6e édition en chiffres, ce sont:

- 12 films,
- 7 courts métrages,
- 11 documentaires,
- 14 pays représentés,
- 6 réalisateurs présents,
- ainsi que 2 acteurs.
Mais aussi :
- 2 projections dédiées aux enfants,
- 2 expositions,

- et 1 an de travail, de recherches, de rencontres pour les membres de l’APACA, association organisatrice.

Où-Quand-Comment : 6e Festival de films africains “Lumières d’Afrique”, du 4 au 12 novembre 2006à Besançon (projections aux cinémas Marché Beaux-Arts, Plazza Victor Hugo et Petit Kursaal).
Tout le programme est en ligne sur: www.lumieresdafrique.com.
En savoir plus sur l’association APACA : un clic sur www.apacabesancon.com.

Le changement d’heure nous avait déjà mis la puce à l’oreille: on allait entrer dans l’hiver. Mais, hier, il s’est passé quelque chose à Besançon qui ne nous laisse plus aucun doute. Eh oui, les guirlandes sont déjà installées dans une partie de la Grande-Rue. Des guirlandes qui sont différentes de celles de l’an passé. Pour l’instant bien sûr, elles restent éteintes. Encore heureux, nous sommes à peine à la Toussaint et Noël n’est que dans un peu plus d’une cinquantaine de jours!

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Hier a été dévoilé le programme des manifestations organisées par la ville de Besançon pour célébrer en 2007 le tricentenaire du décès de Vauban. Ce programme des plus variés mêle rendez-vous festifs, événements culturels, colloques et conférences.
Les réjouissances débuteront officiellement dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier avec le spectacle “Vauban, l’homme qui voulut saisir la lune avec les dents” projeté sur le quai Vauban et se terminera en décembre 2007 avec le marché de Noël développant une thématique XVIIe siècle. Mais, à consulter le programme, on s’aperçoit que l’exposition “Costumes religieux, vêtements et objets liturgiques des XVIIe et XVIIIe siècles” présenté en ce moment au Centre Diocésain (je vous en parle bientôt) y figure déjà en tant que “contribution des Catholiques à la vie bisontine au moment de la conquête et la fortification de la ville par Vauban” et que la Corrida, la course pédestre de l’ASPTT du 3 décembre, a été baptisée “Tous pour Vauban” et emmènera les participants à la découverte des fortifications laissées dans notre cité par l’ingénieur militaire de Louis XIV. Bref, nous sommes déjà entrés, avec un peu d’avance, dans l’année Vauban et l’on se demande si Besançon ne va vivre, dès aujourd’hui et durant un peu plus d’un an, qu’à travers Vauban. En effet, en plus des éléments phares de cette célébration tels que le rallye équestre faisant étape à Besançon, l’exposition estivale au musée du Temps qui s’annonce fort intéressante ou le parcours urbain valorisant ses constructions dans la ville, tous les grands rendez-vous habituels (carnaval, foire comtoise, pique-nique géant, visites guidées, concerts d’été, journées du patrimoine, terroirs gourmands, marché de Noël) seront d’une manière ou d’une autre liés à Vauban. Espérons qu’on ne découvre pas un autre anniversaire à fêter pour l’année 2007, car on risque d’avoir bien du mal à le caser!

Qui-Que-Quoi : ce programme de ce tricentenaire n’est pas encore, à ce jour, en ligne sur le site de la candidature au patrimoine de l’Unesco du réseau des sites majeurs de Vauban (www.sites-vauban.org), mais il devrait l’être bientôt. De toute manière, www.besanconinfo.com vous reparlera, au fil des mois, des manifestations organisées.

photo : la tour bastionnée de Bregille, élement de la fortication de la ville par Vauban.©Besançon Info.

Dans le quartier de la Mouillère à Besançon, la petite rue de Vittel est célèbre pour abriter un bel ensemble de maisons “art nouveau” qui se distinguent par leurs vitraux, leurs ferronneries ou leurs décors de céramique. Mais, cette voie qui relie la rue de la Cassotte à l’avenue Fontaine-Argent recèle aussi une autre construction de la première moitié du XXe siècle, unique dans notre ville. Surmontant l’habitation du gardien de la maison voisine, cette remarquable pergola en dentelle de bois et béton fut édifiée en 1921 par l’architecte bisontin Maurice Boutterin.

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Sans doute, jadis, ne faisait-il pas très chaud dans le théâtre de Besançon. En effet, en 1872, un règlement stipulait qu’il était interdit d’y utiliser des “chaufferettes”, mais on avait le droit d’apporter des “boules d’eau chaude”. C’est ce que l’on apprend en visitant la petite exposition organisée à la Bibliothèque d’étude et de conservation au sujet de ce bâtiment majeur du patrimoine bisontin. A l’heure où l’on fête le bicentenaire du décès de Claude-Nicolas Ledoux, la Bibliothèque a jugé bon ressortir de ses archives différents documents concernant notre théâtre, l’une des oeuvres maîtresses de cet architecte de Louis XVI. Plans aquarellés, maquettes, lettres, registres de compte, programmes, règlements, cartes postales, photographies anciennes sont exposés, apportant divers éclairages sur l’histoire de cet édifice, son évolution, son activité jusqu’à l’incendie qui le ravagea le 29 avril 1958.

Où-Quand-Comment : “Les archives municipales racontent le Théâtre”, Bibliothèque d’étude et de conservation, rue de la Bibliothèque à Besançon, jusqu’au 16 décembre 2006. Du mardi au samedi, de 14h à 18h. Entrée gratuite. Visite guidée gratuite le samedi à 15h. Tél. 03.81.87.81.40.
A noter qu’une plaquette a été éditée pour l’occasion (gratuite, elle est notamment disponible à la Bibliothèque) et qu’une exposition virtuelle sur le théâtre est en ligne depuis plusieurs mois sur le site de la ville.

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Que le temps s’écoule vite! Déjà six mois que l’on est passé à l’heure d’été, prometteuse de longues et agréables soirées. Et voilà, il est déjà temps de reculer les montres et pendules. L’heure d’hiver s’annonce en effet pour cette nuit du 28 au 29 octobre, à Besançon comme ailleurs en France.
A 3 heures du matin, il ne sera que 2 heures. Bref, ceux qui ont prévu de faire la fête, disposeront d’une heure supplémentaire. Et lorsque le réveil sonnera (pour peu qu’il sonne un dimanche), nous aurons dormi une heure de plus.
Profitons de ces quelques avantages glanés au fil de ces premières heures. Parce que dimanche soir, on risque d’être moins réjouis car il fera nuit une heure plus tôt. Et qui dit nuit tôt, dit entrée dans l’hiver... Pas très drôle tout cela! Enfin, on nous annonce un temps estival pour les prochains jours avec même des records de température, c’est toujours ça de gagné.

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”Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les musiques nouvelles sans jamais oser le demander!” C’est ainsi que se définit la programmation du 6e festival “Musiques libres” organisé début novembre à Besançon à l’initiative d’Aspro-Impro. A l’affiche, des concerts bien sûr, mais aussi de la poésie sonore, des installations et de la danse.

Où-Quand-Comment : “Musiques libres 2006”, du 3 au 5 novembre, Grand et Petit Kursaal à Besançon.
Tout le programme est en ligne sur le site d’Aspro-Impro et la billeterie est ouverte au bureau d’Aspro-Impro (3 rue d’Alsace à Besançon) ainsi que dans les magasins FNAC, Carrefour, Géant, Forum et le Salon de musique.

Comme je vous le disais hier à propos des cocktails de Pum (lire la note du 25 octobre 2006), le chrysanthème est de saison.
Mercredi prochain, jour de la Toussaint, les cimetières seront fleuris de bruyères et chrysanthèmes.
Pour l’instant, les pots de toutes les couleurs s’alignent chez les fleuristes.
Avez-vous vu que les chrysanthèmes étaient également en train de s’installer dans les vasques et plates-bandes disséminées dans la ville. Depuis quelques jours en effet, les jardiniers du service municipal des Espaces Verts s’affairent pour donner à nos places, rues et jardins leurs habits d’automne en associant, par couleurs, grosses et petites fleurs.
A l’entrée du parking des Remparts Dérasés, près du Pont de la République, ils ont opté pour ce délicat accord de blanc et de violet.

Qui-Que-Quoi : Ici, le chrysanthème, fleur d’automne, s’est vu associé aux cimetières et à la commémoration des défunts. Mais savez-vous que pour les Chinois et Japonais, il évoque la longévité, la beauté parfaite, la vie, la force. D’ailleurs, au Japon, il est le symbole de la maison impériale et par là même celui de la nation toute entière.

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