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25.11.2005

Connaissez-vous la Chaprinette ?

Avis aux gourmands ! Jusqu’à dimanche, la Fête du Chocolat bat son plein dans la France entière. Besançon n’échappe pas à la règle. Pour mieux vous renseigner sur la question, je suis allée faire un tour sur le site de la Grande-Fête du Chocolat, une manifestation nationale initiée par le chocolatier vésulien Mickaël Azouz. J’y ai découvert, entre autres opérations, que “Sucré-Salé”, la pâtisserie-chocolaterie-traiteur du 35 rue de Belfort à Besançon, mettait à l’honneur “La Chaprinette”.
Je ne me suis donc pas privée d’aller glaner ces savoureuses informations dans cette boutique où plats cuisinés, gâteaux et chocolats se disputent les vitrines. Et là, Stéphanie Zangiacomi (qui avec son mari Julien a repris il y a 5 ans la pâtisserie-chocolaterie Fossaert) m’a tout expliqué.
La Chaprinette a été créée il y a une vingtaine d’années par tous les artisans chocolatiers du quartier des Chaprais. Avec cette ganache orange enrobée de chocolat noir saupoudré de sucre glace, ils voulaient mieux faire connaître leur savoir-faire face à la grande distribution, alors que le Casino ouvrait ses portes à deux pas de leurs magasins. Aujourd’hui, ils ne sont plus que de deux aux Chaprais à continuer à en faire : la pâtisserie-chocolaterie Grandvoinnet qui en propose occasionnellement et, justement, Sucré-Salé où on peut en trouver toute l’année. Croyez-moi, c’est succulent ! D’ailleurs, je n’ai pas pu résister à l’agréable tentation d’en acheter un petit sachet de 100 g (pour 5,50€).
Selon Stéphanie, ce chocolat s’apprécie toute l’année : l’été sa ganache orange est rafraîchissante, l’hiver son sucre glace a un aspect neigeux bien de saison. Elle ne pensait pas si bien dire. J’ai vu Stéphanie hier vers 18 heures 30. Deux heures plus tard, il neigeait sur Besançon !

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© Photo BesançonInfo

00:35 Publié dans Avez-vous su ? | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Besançon

24.11.2005

Les charmes de la place de la Révolution

Les Bisontins avaient souhaité que la végétation ne disparaisse pas de la place de la Révolution. Aussi, nous avait-on annoncé quelques arbres, côté rue des Boucheries. Les voilà plantés. Ils sont très exactement 7. En botanique, ils portent le nom latin de “carpinus betulus”. Pour les non-initiés, il s’agit tout simplement de “charmes communs”, qui ici présentent la particularité d’être taillés en cube. Autour de leur pied, des grilles métalliques déclinent les noms successifs de la place et des rues voisines. Place du Puits du Marché, le Vieux Marché, place Neuve, place Labourey, place de l’Abondance, place de la Révolution, place du Marché, rue des Boucheries, vicus Maselli, rue du Maisel : un véritable florilège !
Non loin, le sapin, couché à terre, attend d’être dressé. Cette année, le roi de nos forêts n’ornera pas la place du Huit-Septembre mais celle - toute neuve - de la Révolution. Une véritable “révolution” pour Besançon, c’est le cas de le dire ! La place du Huit-Septembre gagne en échange une étonnante forêt de 140 sapins de 6 à 8 mètres de haut, que l’on dit magique. Là aussi, les employés de la ville s’activent pour que tout soit prêt pour l’ouverture des festivités de Noël. Demain soir !

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© Photo BesançonInfo

00:14 Publié dans C'est nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Besançon

23.11.2005

Flânerie bisontine autour de la restauration

Associer artisanat et patrimoine par le biais d’un cheminement dans la ville. Tel est le principe des Flâneries proposées par l’office de tourisme de Besançon. Chaque mois, une nouvelle visite, un nouveau thème, une nouvelle découverte. En novembre, c’est le travail des restaurateurs de tableaux qui est mis en avant.
La visite débute par une rencontre avec Dominique Gressot, spécialisée dans la restauration des tableaux peints à l’huile sur toile, au coeur de son atelier des Trois Portes à Besançon. Puis, direction le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. Là, la “Déposition de croix”, peinte en 1545 par Le Bronzino et offerte par Cosme de Médicis à Nicolas Perrenot de Granvelle, est l'objet du plus grand soin de la part du centre de recherche et de restauration des musées de France, depuis son dégât des eaux en juin 2002. Cette oeuvre remarquable sera présentée et les techniques de sa restauration évoquées.

Où-Quand-Comment :"Flânerie autour de la restauration de tableaux", vendredi 25 novembre à 14h (RV à l’atelier des Trois Portes, 3 rue de Chaudanne à Besançon). Tarif de la visite : 8 €.
En savoir plus : Office de tourisme de Besançon.
Tél. : 03.81.80.92.55 - www.besancon-tourisme.com.

22.11.2005

Le Chiffre de la semaine

C’est le nombre de mètres de guirlandes (lampes et lucioles) déroulées pour Noël dans les rues de Besançon. Des illuminations qui nous donnent encore, côté chiffre : 274 motifs en traversée de rues, 80 sphères lumineuses de 1 mètre de diamètre (notamment Grande-Rue et rue des Granges), 2 lustres, 45 paquets cadeaux lumineux, 11 000 mètres de câbles électriques, 34 armoires électriques, 300 Kw de puissance installée... et un budget total (location des motifs lumineux, pose et dépose, assistance, énergie) de pas moins de 280 000 euros.
A noter, cette année, un renouvellement de la presque totalité des motifs ainsi qu’un effort sur les entrées de la ville (ronds-points de la rue de Vesoul/Graviers-Blancs et du tunnel de la Citadelle) et dans certains quartiers tel Planoise.
Plus que quelques jours avant que tout cela ne s’allume et que nous entrions, avec la Fée Electricité, dans le mois des festivités bisontines.

00:32 Publié dans LE chiffre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Besançon

21.11.2005

Au canard gourmand

23, rue de la République à Besançon. Gâteaux et chocolats s’alignent aujourd’hui dans la vitrine de la boutique d’Alain Ricot baptisée Le Chocolat Noir. Avant lui, Jacques Belin avait officié dans ses murs. Et avant ?
Une ancienne publicité retrouvée dans un journal régional indique que déjà en février 1937 se trouvait là une pâtisserie confiserie “tea room”. Curieusement, elle se nommait “Au canard gourmand”. Pourquoi donc ce nom de canard ? Quelqu’un le saurait-il ?

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18.11.2005

Luc Breton, c’est qui ?

Il n’a qu’une petite rue à Besançon reliant la Grande-Rue et la rue des Granges, coté place de la Révolution. C’est celle du Quick et de Nouvelles Frontières. Luc Breton est pourtant considéré comme le plus grand sculpteur franc-comtois du XVIIIe siècle.
Né à Besançon en 1731 et mort dans cette même ville en 1800, il avait été formé par le dolois Attiret avant de gagner Rome où il séjourna quelques années. De retour à Besançon, il assura la fonction de professeur à l’école d’Art dès la création de cette dernière en 1774, tout en exerçant ses talents dans la sculpture.
Le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon possède plusieurs terres cuites de sa main dont certaines sont actuellement visibles dans le cadre de l’exposition sur les artistes et la franc-maçonnerie. Besançon conserve aussi d’autres de ses oeuvres : la pietà de l’église Saint-Pierre, le décor de la fontaine des Dames (à côté de la Préfecture) qui remettait en scène la Petite Sirène du sculpteur Lullier - je vous en parlerai bientôt - ou les anges adorateurs du maître-autel de la cathédrale Saint-Jean.
Luc Breton est également présent dans les collections du musée du Louvre à Paris avec un très beau buste en marbre du prince Louis de Bauffremont (à noter que la famille de Bauffremont possédait le château de Scey-sur-Saône). Ce buste est même reproduit sur le site internet dudit musée. Pour le découvrir, il suffit de cliquer sur ce lien.

17.11.2005

Du nouveau sur Besançon Info

Déjà 80 jours que Besançon Info existe, 80 jours au cours desquels il a reçu quelques 3655 visites.
Pour cette 80e note, je veux juste vous inviter à regarder de plus près les colonnes de la page d’accueil. Besançon Info s’est en effet enrichi hier soir. Aux liens institutionnels déjà en place (ils ont toutefois changé de côté pour passer à gauche) et à ceux des salles de spectacles, s’en sont ajoutés 18 autres. Classés en 4 rubriques, ils permettent de se connecter directement sans avoir à chercher l’adresse sur les sites internet de nos équipes de foot, hand et basket, sur les sites existants des comités de quartier de Besançon, et sur plusieurs sites amis d’ici ou d’ailleurs. Sans oublier, le “Besançon pratique” pour se soigner, se renseigner, se déplacer.
Et demain, Besançon Info inaugure une nouvelle catégorie “C’est qui ?”

16.11.2005

Une grande dame à Besançon

En ces semaines précédant Noël, les beaux livres commencent à fleurir dans les librairies bisontines. Comme chaque année, le rayon “cuisine” déborde de bien gourmandes parutions. Bonnes adresses, secrets de chefs, recettes faciles à faire ou des plus compliquées, chacun y joue de sa partition culinaire. Parmi tous ces alléchants ouvrages, les Bisontins ne doivent pas manquer “Elles sont chefs”. Gilles Pudlowski y recense “les grandes dames de la cuisine contemporaine et leurs meilleures recettes”. 16 d’entre elles exercent leur art à l’étranger, 19 en France dont Jocelyne Lotz-Choquart. La chef “étoilé Michelin” du Mungo Park, bisontine d’adoption depuis 20 ans, y est présentée sur 3 pages et dévoile sur la 4e, sa recette de “Moelleux au pain d’épices, à la rhubarbe et au Vieux Pontarlier”.

Qui-Que-Quoi :
* le livre : Gilles Pudlowski, “Elles sont chefs”, Flammarion, 40€.
* la table : Le Mungo Park - 11, rue Jean Petit à Besançon - Tél. 03.81.81.28.01 - http://www.besac.com/mungopark.